Voitures électriques, marché en crise en mars 2024

Cela n’a pas été un bon mois pour marché automobile en Europe, avec les données de mars 2024 qui sonnent l’alarme pour le secteur. Concrètement, le secteur électrique sent le sol lui glisser sous les pieds, avec les voitures “en vente” qui sortent avec des os cassés à partir du troisième mois de l’année. Une tendance qui, comme le montrent les données de l’ACEA, n’offre de réductions dans aucun pays de l’UE ni même parmi les pays de l’AELE.

Inscriptions en baisse en mars 2024

Le dernier rapport de Acea sur les immatriculations en Europe en mars 2024 met en évidence un tableau déficitaire pour le secteur. En fait, en comptant les volumes de ventes dans tous les pays européens et de l’AELE, par rapport à la même période de l’année dernière, un -5,2% des ventes.

En mars, en effet, 1.031.875 voitures ont été immatriculées dans l’Union européenne, un chiffre qui s’élève à 1.383.410 en considérant également le Royaume-Uni et l’AELE, pour -2,8% par rapport à 2023. Un chiffre qui inquiète et pas un petit secteur qui, après le bon début d’année, revient à avoir un impact négatif sur les ventes.

En effet, 2024 a débuté avec une croissance de 12 % en janvier, par rapport à janvier 2023, et de 10 % en février. Mais en mars, peut-être aussi en raison du nombre réduit de jours ouvrables pour les vacances de Pâques, le la clôture s’est déroulée à perte. Un chiffre qui fait du bruit, d’autant plus que beaucoup plus de voitures ont été immatriculées par rapport aux mois précédents (851 690 en janvier et 886 608 en février).

Au vu des chiffres et du rapport Acea, les États de l’UE qui ont connu les plus grandes difficultés à s’enregistrer en mars 2024 étaient Roumanie Et le Portugal, avec un lourd -25%. Dans Italiecependant, la variation a été de 3,7%, avec une croissance timide des ventes de voitures hybrides (+8,3%) et essence (+5,7) et un effondrement vertical des voitures diesel et surtout électriques.

Crise sur le marché des voitures électriques

Le marché des voitures électriques, comme mentionné, sera réduit à partir de mars 2024, la part du secteur diminuant de 11,3 points de pourcentage par rapport à l’année dernière. Seulement 134 397 le immatriculations de véhicules purement électriques dans l’UEle sentiment que les citoyens européens n’aiment toujours pas du tout les voitures “à la pression”.

Tandis que dans Belgique, France Et Hongrie la part de marché augmente mois après mois, la situation est différente en Italie et au-delà. La baisse considérable se situe en Allemagne, avec -28,9% par rapport à mars 2023, avec 31 mille voitures BEV immatriculées contre plus de 44 mille l’année précédente, des chiffres loin de l’Italie.

En effet, dans notre pays, 5 357 voitures électriques ont été immatriculées en mars 2024, soit près de 3 mille de moins qu’en 2023 avec une baisse de 34,4 %. Un net recul par rapport aux données de février 2024, où la part des véhicules électriques en Italie avait augmenté de 3,1% (5.007 voitures BEV immatriculées contre 4.857 en février 2023), derrière les -11,1% de janvier (année commencée avec seulement 2 961 voitures électriques immatriculées).

Ce n’est certainement pas une bonne réponse de la part des Italiens aux tentatives du gouvernement de mettre en œuvre des politiques d’incitation à l’achat de voitures plus durables, dans le but de moderniser le parc de voitures en circulation.

Ils ont seulement fait pire que nous Croatie (-70%), Irlande (-41%), Slovénie (-38%)e Finlande (-35%). Des chiffres alarmants, surtout s’ils sont lus des mois après la lutte en Europe pour l’adieu au moteur à combustion interne d’ici 2035, avec l’alternative électrique qui, du moins pour le moment, ne semble pas vouloir décoller.

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