Dans la province de Turin, deux “usines” de faux composants automobiles. GdF saisit 500 mille pièces détachées

DeMaxime Maxence

Une supply chain de 8 millions d’euros en entrepôts industriels. Au sein de 13 lignes de production opérationnelles et professionnelles. Une vingtaine de suspects

Les militaires du commandement provincial de Police financière turinoise ils ont terminé leOpération « Fausse Rotation », pour lutter contre la contrefaçon dans le secteur automobile. Environ, ils ont été saisis 500 000 pièces de rechange pour voitures contrefaites des plus grands constructeurs automobiles nationaux et internationaux (Fiat, Alfa Romeo, Lancia, Citroën, Opel, Peugeot, Dacia, Skoda, Ford, Volkswagen, Toyota, Nissan, Renault, Seat, Iveco, Chevrolet), ainsi que de nombreuses machines et moules utilisés pour la production.

Les fausses pièces automobiles ont été produites dans l’entrepôt d’une entreprise Volveradans la province de Turin, à l’intérieur duquel ils ont été découverts 13 lignes de production, pleinement opérationnelles et professionnelles, composée de diverses machines pour le moulage, le pressage, la peinture, la sérigraphie et la tampographie des produits fabriqués. En tout, ils ont été saisis 28 machines industrielles et 449 moules. La valeur commerciale de cette fausse industrie dépasse les 8 millions d’euros.

L’enquête de la police économique et financière de Turin est partie d’un rapport et s’est également développée avec des surveillances, des observations et des analyses de bases de données. Les enquêteurs, dirigés par le colonel Alessandro Langella, ils ont découvert que la société Volvera, qui exerçait apparemment une activité légitime, produisait en réalité exclusivement des « contrefaçons de créateurs ». Notamment des enjoliveurs, mais aussi des enjoliveurs, des emblèmes, des éléments ornementaux et du tuning de carrosserie. Qu’il commercialisa ensuite dans toute l’Italie et qui furent achetés par des revendeurs officiels en Piémont, Campanie, Calabre, Pouilles, Basilicate, Lombardie Et Toscane et fait passer pour des originaux. Les marges bénéficiaires étaient évidemment très élevées et les exigences de production ne cessaient d’augmenter.

Les produits n’étaient pas stockés dans l’entrepôt de l’entreprise, mais dans un Entrepôt de 700 mètres carréségalement à Volvera, loué par une entreprise de logistique (qui s’est avérée inconsciente et sans rapport avec les faits) qui distribuait la marchandise dans toute l’Italie.

Ils sont une vingtaine, parmi lesquels des dirigeants de l’entreprise manufacturière et des détaillants “infidèles”.les sujets faisant l’objet d’une enquête, en concurrence, pour la fabrication et le commerce de produits contrefaits, avec la circonstance aggravante de les avoir commis de manière systématique et par la mise en place de moyens et d’activités organisées, et de recel de biens volés.


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2 mai 2024 (modifié le 2 mai 2024 | 13h25)

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