la photographie de la Cour des Comptes

S’élève à 5,4 milliards d’euros La quantité de versements dus en 2023, qui ne sont pas payés, de mise au rebut.

Les données font partie de la photographie composite fournie par Rapport sur l’état général de l’état pour l’année 2023qui a été présenté hier par la Cour des comptes.

L’activité de l’Agence des Recettes a permis de récupérer environ 20 pour cent des sommes dues.

Par rapport aux années précédentes, en 2023, le documents de contrôle.

Mise au rebut, 5,4 milliards d’échéances en souffrance et impayées : la photographie de la Cour des comptes

La photographie prise par celui-ci est complexe et variée Cour des comptes dans le « Rapport sur l’état général de l’état pour l’année 2023 »présenté hier.

Le document substantiel se concentre sur divers aspects et fournit i données relatives à l’année dernière.

Concernant l’adhésion à les plans de démolition, qui prévoient une définition facilitée des paiements, la Cour des comptes souligne que :

« En particulier, il est à noter que la collecte à travers les rôles délégués à l’Agence de collecte des recettes a généré des revenus de 14,8 milliards. Il s’agit d’un montant exceptionnellement élevé, provenant à la fois de la collecte ordinaire et du produit des deux premières tranches de la nouvelle définition subventionnée (appelée « quart de démolition »).

Toutefois, compte tenu des recettes plus élevées que la normale, il instrument ne semble pas tout à fait efficace pour recouvrer les sommes dues. Dans certains cas, en fait, adhérer à définitions facilitées représente un outil à la disposition du contribuable pour “prendre du temps”.

Le rapport met en évidence les éléments suivants :

«Il convient toutefois de noter que pas moins de 5,4 milliards d’échéances dues en 2023 n’ont pas été payées et qu’une grande partie des accords de déchirage visent probablement à retarder la collecte obligatoire.»

La croissance des recettes fiscales liées aux contrôles provient principalement lettres de conformité adressé aux sujets appelés à la caisse.

Par rapport à l’année dernière et aux années précédentes, le nombre de contrôles effectués par l’Agence des revenus.

Cour des comptes – Rapport présenté le 27 juin 2024
Rapport sur le relevé général de l’état 2023 (document de synthèse).

Lutte contre l’évasion fiscale : récupération de 20 pour cent des sommes

Du rapport de la Cour des comptes apparaît l’efficacité limitée des outils de recouvrement des sommes liées à l’évasion fiscale.

Outre la possibilité d’éviter les contrôles, qui ne sont pas répandus, ceux qui ne paient pas d’impôts ont la possibilité d’utiliser des outils qui leur permettent de retarder le paiement et, dans certains cas, de payer avec définitions de dossiers facilitées.

Par rapport aux sommes dues, le recouvrement intervient pendant environ 20 pour cent des sommes.

La Cour des comptes fournit des données de collecte suite aux communications d’irrégularités, retraçant l’évolution années passées :

  • au cours de l’exercice fiscal 2018, les montants récupérés ont atteint 3,1 milliards d’euros ;
  • en 2019, la somme s’élevait à 4,3 milliards d’euros ;
  • en 2020, le montant était de 1,4 milliard d’euros.

La moyenne est celle de la reprise qui suit communications d’irrégularités cela représente un peu plus d’un cinquième des sommes totales.

À cet égard, le rapport explique ce qui suit :

“Il s’agit donc d’un pourcentage assez limité des montants globaux dus, dont les causes mériteraient d’être mieux explorées, mais qui pourraient aussi être liées à des attentes profondément ancrées de démolition ultérieure.”

L’incitation à ne pas payer les sommes dues pourrait donc être liée à la possibilité que des instruments ultérieurs permettent obtenir des avantages ultérieurs.

À cela s’ajoute une réduction du nombre de contrôles de l’Agence des Revenus.

Les cotisations ordinaires pour 2023 s’élèvent à plus de 175 mille et ils sont en baisse par rapport à l’année précédente, avec une diminution de 14 mille enquêtes, ce qui en pourcentage s’élève à 7,5.

De plus, les chiffres sont nettement inférieurs à ceux d’avant la pandémie : les contrôles en 2019, il y en avait plus de 267 000.

A cet égard, la Cour des Comptes souligne ce qui suit :

« Il est nécessaire de souligner comment une plus grande fréquence des contrôles fiscaux, en particulier pour les types d’activités les plus à risque d’évasion (et les plus nombreuses), pourrait et devrait intégrer l’utilisation préventive (en premier lieu) de l’énorme quantité de données disponibles dans les systèmes d’information (y compris, comme déjà indiqué, les données descriptives des factures électroniques émises et reçues, les frais communiqués par voie électronique et les mouvements résultant du Registre des relations financières et des paiements électroniques), déjà largement prévues par la loi, mais non mais pleinement réalisé. »

Il faudra attendre pour comprendre si la récente embauche de plus de 4 000 fonctionnaires de l’Agence du revenu, en soutien à la réduction des effectifs, aura un effet sur cet aspect.

PREV Le Nutella devient de la glace : voici ce que vaut le segment en Italie
NEXT les Allemands prêts à relancer l’entreprise