Mise à la casse et échéances, l’impact sur les nouveaux plafonds d’indemnisation F24

Mise à la casse et échéances, l’impact sur les nouveaux plafonds d’indemnisation F24
Mise à la casse et échéances, l’impact sur les nouveaux plafonds d’indemnisation F24

Compensations F24 et paiements à la casse et à tempérament: impact direct sur la vérification des limite de 100 000 euros.

À partir du 1er juillet 2024 l’innovation prévue par la loi de finances qui inhibe la compensation des crédits d’impôt en cas de dettes inscrites au registre et de charges confiées à l’Agence de Recouvrement des Recettes pour les montants supérieurs à 100 000 euros est opérationnelle.

La présence d’un plan de versement en cours suspend le blocage des indemnisations, même en cas d’acomptes non payés dans les délais en un nombre tel qu’il n’entraîne pas la déchéance du délai accordé.

Mêmes règles également en ce qui concerne les dettes incluses dans le mise au rebut trimestrielle des dossierspour lequel il sera important de surveiller la prochaine échéance de paiement fixée au 31 juillet.

Quelles règles s’appliquent en cas de non-paiement des acomptes dus? Pour fournir le instructions en détail c’est le Circulaire de l’Agence des Revenus n° 16/E du 28 juin.

Mise à la casse et échéances, l’impact sur les nouveaux plafonds d’indemnisation F24

À partir du 1er juillet 2024 la possibilité d’utiliser les crédits d’impôt en compensation en cas de dettes enregistrées pour un montant supérieur à 100 000 euros est interdite.

Le seuil comprend les montants relatifs à charges confiées à l’agent collecteur concernant les taxes d’état et accessoires y afférentsceux confiés à l’agent de recouvrement relatifs aux documents délivrés par l’Agence des revenus sur la base de la réglementation en vigueur, y compris les sommes faisant l’objet d’actions en recouvrement.

C’est l’un des premiers aspects soulignés par l’Agence des Revenus avec la circulaire n°. 16/E, précisant que les montants ci-dessus doivent être pris en compte pour le calcul du plafond de 100 000 euros à condition que le délai de paiement soit déjà expiré de la dette, qui n’est pas impayée mesures de suspension ou plans de versement pour lesquels la confiscation n’a pas eu lieu.

Et c’est sur ce dernier aspect qu’il convient de se concentrer, également à la lumière des règles spécifiques en matière de confiscation, tant sur les échéanciers des factures fiscales que sur le recto du trimestre de mise au rebut.

Pour les dossiers pour lesquels un échéancier de paiement échelonné est en cours, les sommes régulièrement versées ne compteront donc pas dans le seuil de 100 000 euros ainsi que les acomptes impayés qui n’ont en aucun cas entraîné la déchéance du plan accordé par l’Agence de Recouvrement des Recettes.

Pour identifier au mieux les cas dans lesquels la suspension du droit à indemnisation ne s’applique pas, il est utile de se concentrer sur l’un des exemples fournis par l’Agence des revenus.

En cas d’acomptes d’un rôle égal à 130 000 euros pour impôts, pénalités et intérêts, le défaut de paiement d’un nombre d’échéances n’excédant pas 7 ne sera pas pertinent aux fins de vérifier le seuil de 100 000 euros. Dans ce cas, en effet, le plan de paiement différé accordé par l’Agence de Recouvrement des Recettes non décennie et par conséquent la possibilité d’utiliser les crédits d’impôt en compensation restera gratuite.

Se le seuil des 8 échéances impayées est atteint ou dépassé dans les délais impartis, même s’ils ne sont pas consécutifs, l’échéancier devient automatiquement caduc et la totalité du montant inscrit, net des sommes versées, devient immédiatement recouvrable en un seul versement.

Ainsi, en reprenant l’exemple ci-dessus, si le montant résiduel du rôle net des sommes versées est égal à 110 000 euros, le bloquer la compensation horizontale des crédits via F24.

Pour ceux qui renoncent à la casse trimestrielle, l’interdiction d’indemnisation F24 est déclenchée en cas de dettes supérieures à 100 000 euros

Adhésion à trimestre de mise au rebuten cas de paiement régulier des échéances dues au titre des dettes pour la période du 1er janvier 2000 au 30 juin 2022, permet surmonter l’interdiction d’indemnisation.

Alors:

« Le montant en cours de définition ne contribue pas à atteindre le seuil si toutes les échéances ont été payées dans les conditions fixées dans l’échéancier »

En cas de déchéance du quart de déchirage pour cause de paiement omis, insuffisant ou tardif des échéances, le montant de la totalité de la charge résiduelle (et donc net des sommes déjà versées) est pertinent pour la vérification du seuil de 100 000 euros.

Dans ce cas également, la circulaire de l’Agence des revenus fournit un exemple utile pour mieux comprendre l’impact de la confiscation des quaternaires sur l’inhibition des indemnisations.

Une entreprise individuelle est responsable de :

  • un rôle résultant d’un contrôle automatisé en application de l’article 36-bis du décret présidentiel no. 600 de 1973, dont le montant, égal à 15 000 euros, n’a pas été payé dans les délais fixés ;
  • de rôles pour les impôts de l’État pour un montant total de 120 000 euros, confiés dans la période du 1er janvier 2000 au 30 juin 2022, sous réserve d’un règlement facilité de 90 000 euros, avec paiement en 18 échéances.

En cas de paiement régulier des sommes antérieures, la cinquième tranche d’un montant égal à 4 500 euros doit être réglée avant le 31 juillet. Le paiement non effectué à la date limite du 5 août (compte tenu de la tolérance supplémentaire de 5 jours), entraînera la perte du bénéfice de la démolition trimestrielle et l’AdER pourvoira à la récupération de la totalité du montant du chargement qui lui sera confié, égal à 120 000 euros, net des quatre premiers acomptes versés aux fins de la définition.

Le montant résiduel du chargement confié à l’agent collecteur, égal à 93 000 euros, contribuera à la atteindre le seuil des 100 000 euros. Compte tenu également de la dette supplémentaire de 15.000 euros encore impayée, la compensation des crédits en F24 sera inhibée après avoir dépassé la limite ci-dessus.

La réduction des dettes rétablit le droit à indemnisation en F24

Il est également intéressant de s’intéresser à la possibilité de rétablissement du droit à indemnisation des crédits accumulés.

L’interdiction d’indemnisation cesse à compter de la date à laquelle le montant total des chargements confiés à l’agent collecteur et accessoires y afférents est réduit à un montant inférieur ou égal à 100 000 euros, du fait :

  • de la suspension judiciaire ou administrative des chargements confiés ;
  • de la concession, par l’agent de recouvrement, d’un échéancier visant le remboursement des dettes, pour lesquelles le bénéfice de l’échéancier n’a pas été perdu ;
  • du paiement des sommes dues.

En conséquence des dispositions du paragraphe 49-quinquies, l’article 37 du décret législatif n. 223/2006, tel que modifié par l’article 4, paragraphe 2, du décret législatif n. 39 de 2024, est le paiement, même partiel, est autorisédes sommes confiées au titre des impôts de l’État et accessoires y afférents par utilisation dans compensation de crédits relatifs aux mêmes impôts.

La suppression ou la réduction du montant des charges confiées à l’AdER à hauteur de 100 000 euros peuvent également être réalisées. utiliser les crédits relatifs aux mêmes impôts de l’État à titre de compensationà l’exception des actes de recouvrement de créances inéchues ou inexistantes utilisés en tout ou partie en compensation, pour lesquels la possibilité d’indemnisation est exclue.

Reprenant l’exemple donné au recto de la confiscation du quater déchirage, le contribuable pourra lever le blocage sur la compensation des bonifications de prestations accumulées en payant la part à hauteur de réduire la somme globale des charges confiée à l’agent collecteur pour un montant égal ou inférieur au seuil de 100 000 euros.

« Considérant que le montant total des dettes inscrites au registre des contribuables est égal à 108 000 euros, le paiement intégral de la somme de 15 000 euros du registre, ou la compensation de cette somme par des crédits d’impôt en application de l’article 31, alinéa 1, quatrième sentence, du décret législatif 78 de 2010, réduisant le montant global des charges à 93 000 euros, détermine la levée de l’interdiction et, par conséquent, le rétablissement du droit de Tizio d’utiliser le montant des crédits de facilitation accumulés en compensation des dettes non inscrit.”

C’est ce qu’a rapporté l’Agence du revenu : un via surmonter le blocage de l’indemnisation en F24 en payant, même partiellement, la dette accumulée.

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