Le livre de Di Stefano et Pellegatti sera présenté aujourd’hui

Le dernier livre écrit par sera présenté cet après-midi à Milan Peppe Di Stefano et de Carlo Pellegatti par titre “Il n’y a qu’un seul président. Silvio Berlusconi, portrait d’un rêveur” ; Les correspondants de MilanNews.it suivront pas à pas la présentation, en vous offrant des mises à jour en direct et les contributions des nombreux super-invités présents. Le livre peut être acheté en cliquant sur ce lien Amazon,

LE RÉSUMÉ DE « IL N’Y A QU’UN SEUL PRÉSIDENT »

«Quand j’étais entraîneur d’Edilnord…» L’aventure footballistique de Berlusconi a commencé au milieu des années 60 et il l’a rappelé à plusieurs reprises à ses joueurs. Et depuis, sous sa présidence – de février 1986 à avril 2017 – Milan a remporté 29 trophées officiels en 31 ans. Un record absolu. Ce livre retrace la grande passion sportive de Silvio Berlusconi. Depuis qu’il a imité Nordhal à l’oratoire du quartier Isola de Milan, récupérant les laissez-passer de son ami de lycée, Fedele Confalonieri, pour le premier entraîneur signé, Marcello Dell’Utri. Des stades du monde entier à la salle Arcore, où il accueillait ses joueurs en jouant du piano ; des salles du Palazzo Chigi de Milanello à Monza. Et puis les interminables appels téléphoniques avec Adriano Galliani pour les achats, les négociations, les victoires et les défaites… mais aussi les curiosités et les anecdotes, racontées par ceux qui l’ont accompagné dans cette extraordinaire aventure humaine et sportive. Les compagnons inséparables de toute une vie, sa famille, ses joueurs et entraîneurs les plus aimés, ceux qui ont travaillé à ses côtés, ceux qui l’ont aidé à réaliser ses rêves, ceux qui l’ont fait sourire et ceux qui lui doivent tout. Berlusconi et le football. Un sentiment qui a duré toute une vie et vécu avec courage. Il a gagné et convaincu, depuis les rencontres dans un bar de la Piazzale Loreto à l’âge de trente ans jusqu’au sommet du monde. Près de 87 ans de visionnaire, au son de la Chevauchée des Walkyries, avec une fin pleine de sentiments et d’émotions contrastées. Et un dernier souhait retentissant. Parce qu’en réalité, il n’y a qu’un seul président.

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