A Scanno (AQ), du 26 au 28 juillet, la quatrième édition du “Ju Buk Festival, revue de livres et d’auteurs” – Le pays des femmes en ligne – magazine

A Scanno (AQ), du 26 au 28 juillet, la quatrième édition du “Ju Buk Festival, revue de livres et d’auteurs” – Le pays des femmes en ligne – magazine
A Scanno (AQ), du 26 au 28 juillet, la quatrième édition du “Ju Buk Festival, revue de livres et d’auteurs” – Le pays des femmes en ligne – magazine

À Scanno (L’Aquila), un ancien village du Parc National des Abruzzes, aura lieu du 26 au 28 juillet 2024 la quatrième édition du “Festival Ju Buk, critique de livres et d’auteurs”. Le festival littéraire 100% féminin Festival Ju Buk (Ju Buk dans le jargon local désigne le sac du berger transhumant), est parrainé par le MiC – Ministère de la Culture et la Région des Abruzzes et aura lieu dans l’auditorium Guido Calogero.

L’intention de Festival Ju Buk est ambitieux, explique Eleonora de Nardis Giansante, créatrice et directrice de l’événement : « Créer une culture dans une perspective féministe et renverser les récits d’événements peut représenter, dans cette phase historique, un support aux connaissances nécessaires pour activer une reconversion sociale et environnementale. radicalement opposé au modèle dominant relancé par le mainstream et qui imprègne encore aujourd’hui tous les domaines de notre vie sociale, bien qu’il ait entraîné des conséquences dévastatrices pour le pays, de l’hiver démographique au chômage des femmes, en passant par le nombre inquiétant de violences de genre.”

La quatrième édition du Ju Buk Festival mettra en vedette des femmes débutantes et primées, des politiciennes et des militantes, des économistes et des journalistes. Nous discuterons de force et de fragilité, de guerre et de paix, de corps et de choix, de mémoire et d’avenir.

Programmé:

La première journée sera dédiée à cette dernière Débuts réussi, avec Monica Acito et c’est acclamé Groseille (Bompiani 2023)e Raffaella Simoncini qui aborde le thème de la maladie en Volumineux, de la maison d’édition des Abruzzes NEO, un exemple intéressant d’édition indépendante qui figure également au Prix Strega cette année. Des pages capables de réparer des déchirures sociales, de bouleverser les représentations, de briser les préjugés, de construire des ponts entre les cultures et d’écrire de nouvelles grammaires des relations entre les genres.

La deuxième journée intitulée s’ouvrira Corps l’économiste féministe Azzurra RinaldiDirecteur de École d’économie du genre par Unitelma Sapienza : après le best-seller Les dames ne parlent pas d’argentpoursuit son travail d’autonomisation des femmes avec Comment demander une augmentation (Fabbri 2024). Nous continuerons avec La femme qui détestait les corsets De Éléonora D’Erricoune biographie de Rosa Genoni qui verra l’auteur en dialogue avec Michela Bonafonispécialiste de la mode et des coutumes et professeur à l’IED de Milan et terminera par l’essai suggestif C’est à cela que sert le corps (Bompiani 2023) de la signature culturelle du Corriere della Sera Roberta Scorranese, qui retrace l’évolution de l’image de la femme dans l’art, à partir d’un vers célèbre de la poète Patrizia Cavalli. L’avant-première nationale tant attendue de la lecture « Tu es trop chatte ! » est prévue samedi soir. écrit par le dramaturge Antonella Questa et joué par l’actrice et activiste Valentina Mélis, tous deux reviennent du grand succès de la tournée de la pièce « Stai zitta ! basé sur le best-seller de Michela Murgia.

La dernière journée intitulée Les choixverra les noms d’IlSole24Ore sur scène Monica D’Ascenzo Et Manuela Perrone avec leur dernier travail mères italiennes avec l’intervention de la politique Marta Bonafoni et les journalistes du groupe Perdu en Europe Cécilia Ferrara Et Angela Gennaro avec Se perdre en Europe sans famille, Histoires de mineurs migrants (AltraEconomia 2023). Le festival se clôturera par la fiction : dimanche soir, le roman montera sur scène Le petit De Sylvia Montemurro (et/ou éditions 2023) qui raconte l’histoire des premiers mouvements ouvriers féminins sous le signe de ce chemin de Mémoire qui nous est nécessaire pour pouvoir nous souvenir de qui nous sommes et regarder vers l’avenir, afin que la littérature féminine ne reste pas seulement de l’encre sur du papier, mais peut réellement agir comme une force motrice pour le changement social et culturel et pour l’écriture de plus en plus urgente d’une nouvelle grammaire des relations entre les sexes.

INFO:

Ju Buk Festival RASSEGNA DI LIBRI ED AUTRICI

[email protected]

PREV 8 livres illustrés sur le thème LGBTQ+ pour enfants (et pas seulement) qui nous apprennent l’inclusivité et combien nos différences sont précieuses
NEXT Roberto Arditti et les défis de l’Occident : son dernier livre