Les finalistes du Prix Strega vus de près à la “Citta dei Readers”

Les finalistes du Prix Strega vus de près à la “Citta dei Readers”
Les finalistes du Prix Strega vus de près à la “Citta dei Readers”

Comme le veut la tradition, le Prix Strega arrive à La città dei Readers, le festival qui catalyse des auteurs, éditeurs, traducteurs, vulgarisateurs et conservateurs de premier plan à Florence, promu par la Fondation CR Firenze et l’Association Wimbledon Aps sous la direction de Gabriele Ametrano. Hier, à Villa Bardini, pour la première réunion publique après la proclamation – qui a eu lieu le soir du 5 juin à Bénévent – sont arrivés Donatella Di Pietrantonio, Dario Voltolini, Chiara Valerio, Paolo Di Paolo, Raffaella Romagnolo et Tommaso Giartosio.

Les six auteurs ont parlé de leurs œuvres respectives, présentées par la journaliste Chiara Brilli, en compétition pour le prestigieux prix littéraire qui sera décerné le 4 juillet au Musée national étrusque de Villa Giulia à Rome. La rencontre avec les finalistes a été précédée d’une conférence du directeur de la Fondation Maria et Goffredo Bellonci Stefano Petrocchi intitulée La première fois au Prix Strega – Une première histoire : connexion à l’un des thèmes principaux de cette édition du festival, celui de ses débuts littéraires, Petrocchi a retracé les événements de ceux qui, au fil des années, se sont présentés en lice pour le Strega grâce à une première œuvre.

Aujourd’hui, La Cité des Lecteurs se souvient de Matteotti, à l’occasion du centenaire de l’assassinat, pour célébrer son courage dans une œuvre qui le voit comme le protagoniste avec son épouse Velia Titta et d’autres couples politiques célèbres de ces années tourmentées et cruciales : Antonio Gramsci et Giulia. Schucht, Anna Kuliscioff et Filippo Turati, Benito Mussolini et Margherita Sarfatti. A 17h30 le président du Gabinetto Vieusseux, Riccardo Nencini, présente le nouveau roman ‘Je meurs pour toi’ (Mondadori) en dialogue avec le président de la Région Toscane Eugenio Giani et la journaliste Cristina di Domenico. Mais demain, ce sera au tour de la journaliste Francesca Fagnani qui présentera son premier livre « Mala : Rome criminelle » (Feltrinelli SEM). La « bête » Fagnani examine les sources judiciaires, relie les faits et reconstitue les alliances anciennes et les rivalités récentes qui définissent la géographie criminelle de la Capitale : « Mala » est une enquête documentée qui révèle qui sont les nouveaux maîtres de Rome sous le manteau de la une grande beauté.

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