Escroqueries aux superbonus à Messine, les Barberas ne parlent pas

Escroqueries aux superbonus à Messine, les Barberas ne parlent pas
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MESSINE – Ils n’ont pas duré longtemps mandat d’interrogatoire des six personnes arrêtées par la police financière de Messine dans le cadre de l’enquête sur une série d’escroqueries présumées impliquant des concessions contre des primes de construction. A comparu devant le juge des enquêtes préliminaires Ornella Bergerle médecin Antonino Barbera, son fils Nicola (également professionnel de santé), sa sœur Domenica, son épouse Felicia De Salvo et sa belle-fille Silvia Lo Giudice ont fait usage du droit de ne pas répondre.

Silence pendant les interrogatoires

Leurs défenseurs, les avocats de Carlo Merle, Carlo Autru Ryolo, Rose William et Paola Barbare, ils vont maintenant évaluer l’éventuel appel devant la Cour de révision. Pour le docteur Barbera, spécialisé en médecine esthétique, une Pâques en prison est donc attendue, tandis que les membres de sa famille restent assignés à résidence. Les enquêtes des financiers, coordonnées par le colonel Alessandra Rond, aux commandes du Groupe Messine, pendant ce temps, ils avancent.

Enquêtes sur les crédits monétisés

Le parquet de Messine a en effet ordonné le séquestre estimation pour l’équivalent de 37 millions d’euros de divers biens et propriétés de la arrêté. Les scellés seront également apposés sur les crédits saisis dans les tiroirs fiscaux des patients sans méfiance du médecin, convaincus qu’ils peuvent ainsi réaliser les travaux de rénovation de leurs propriétés, qui n’ont pas encore été monétisées, ainsi que celles déjà commercialisées et transférées à la compagnie des membres de la famille du médecin, non encore « encaissés ». D’après les premières investigations, il semble que le docteur Barbera ait déjà réussi à monétiser au moins un million d’euros. C’est également pour cette raison que les enquêteurs examineront désormais tous les récits étrangers de cet homme.

Rapports et écoutes téléphoniques de l’Agence du revenu

A la tête de enquêtes il y a le procureur adjoint Giuseppe Orné et la procureure adjointe Rosa Raffa, coordonné par le procureur général de Messine Antonio d’Amato. Ce sont eux qui ont reçu la plainte d’un ami du médecin qui, suite à un rapport de l’Agence des Revenus qui effectuait des contrôles sur l’efficacité du travail effectué pour obtenir les crédits prévus par le superbonus de 110%, a découvert que il avait des crédits de plus d’un million d’euros. A son insu, il a expliqué aux Financiers, et sans jamais avoir entamé les travaux correspondants. D’où les contrôles sur le rôle du médecin, qui avait exercé la même activité sur les contribuables d’au moins 40 autres personnes.

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