Terrain exproprié de Quercia, pas de remboursement d’un demi-million à Ater par la commune

Terrain exproprié de Quercia, pas de remboursement d’un demi-million à Ater par la commune
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Viterbe – Le recours du logement social pour la reconnaissance de la dette a été rejeté

Viterbe – (sil.co.) – Le recours présenté par l’Ater de Viterbe qui demandait au Palazzo dei Priori près d’un demi-million d’euros pour les expropriations de la Quercia datant du milieu des années soixante-dix a été rejeté par le tribunal administratif régional du Latium. Parmi les raisons : « La signature de celui-ci aurait été de la responsabilité du corps politique ».


Viterbe – Le siège d’Ater


L’entreprise, notamment, s’était adressée au TAR en 2019 pour obtenir l’annulation de la décision de gestion avec laquelle, en octobre de la même année, la municipalité avait déclaré la nullité de la décision de gestion du 12 avril 2018, qui aurait plutôt a reconnu la dette, la retirant en état de légitime défense suite à une résolution du conseil municipal du 10 octobre 2019.

Ater, en substance, a demandé au TAR du Latium de vérifier l’obligation de la commune de Viterbe d’engager la procédure aux fins de reconnaissance de la dette hors bilan du prétendu crédit de 444 860,76 euros réclamé à l’administration publique.

La demande était fondée sur une résolution du conseil datée du 26 juillet 1975, par laquelle la municipalité avait identifié environ 6 300 mètres carrés de superficie à l’intérieur de la Peep “La Quercia”, ordonnant à l’Iacp d’alors de fournir, au nom et pour le compte de la municipalité, à l’expropriation des zones destinées à l’intervention, “en avançant au nom de la commune elle-même les fonds nécessaires à ajuster avec le montant du droit de surface dû à la commune pour la concession de la zone elle-même”.

L’approbation du projet d’accord de concession des droits de superficie remonte au 16 novembre 1977, tandis qu’un accord préliminaire a été stipulé par un acte notarié du 12 octobre 1978, à la suite duquel une partie des superficies expropriées serait reléguée du corps à la commune. et Ater aurait au fil des années (avec plusieurs rappels effectués entre 1988 et 1994) demandé à la municipalité le remboursement des indemnités d’expropriation versées.

Avec détermination managériale sans engagement de dépenses n. 1889 du 12 avril 2018, la commune de Viterbe Secteur VII, en la personne du directeur de l’époque Massimo Gai, a approuvé le projet d’accord définitif entre la commune et Ater, avec lequel cette dernière s’était engagée à rembourser à l’Ater la somme de 444.860,76 euros, correspondant au montant réévalué, une fois versé par l’entité à titre d’indemnité d’expropriation pour les superficies ensuite cédées à la commune.

Lors de l’audience publique du 13 février 2024, en vue de laquelle les parties ont déposé leurs mémoires, l’affaire a été mise en examen, tandis que le verdict a été publié le 27 mars.

« L’acte mis en œuvre en 2018, même s’il pouvait être qualifié de reconnaissance de dette – lit-on dans les motifs du rejet – manquerait de l’approbation de force exécutoire et de couverture financière, la signature de celui-ci aurait été de la responsabilité du politique, les superficies restituées à la commune défenderesse, prises comme paramètre de référence pour le calcul de la redevance, seraient plus petites que celles calculées en 2018, de toute façon, la créance d’Ater serait prescrite”.

« Dans le cas en question – soulignent les juges du TAR – il n’y avait pas tant une reconnaissance de dette (…) plutôt (…) la détermination d’une contrepartie pour un contrat de concession, en outre sur la base de différents critères et modalités de calcul par rapport à celles contenues dans l’accord préalable de 1978 (qui, contrairement à ce qui avait été établi en 2018, prévoyait que le prix que supporterait l’organisme autonome de logement social pour l’acquisition des surfaces en question, réalisée au nom et pour le compte de la commune de Viterbe, serait resté à la charge du concessionnaire) ».

En conclusion : « Cette détermination de la redevance a été effectuée par un gérant qui, par disposition expresse de la loi, n’avait pas le pouvoir de l’exécuter, car il s’agit d’une compétence attribuée au conseil municipal, c’est-à-dire comme expressément institué dans la disposition contestée, à l’organe de direction politique de l’institution”.

Dans tous les cas, Ater pourra agir auprès du bureau compétent pour l’évaluation et la protection du crédit réclamé à la commune.

9 avril 2024

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