Avortement, attaques contre le gouvernement italien de la part du PD de Reggio de Calabre

Avortement, attaques contre le gouvernement italien de la part du PD de Reggio de Calabre
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« La mortification des droits est la mission de gouvernement: un droit qui, à travers des amendements, des décrets législatifs, des matraques et des inspections punitives, a encerclé la démocratie et attaqué la Constitution pour empêcher toute liberté de choix. Alors qu’il y a quelques semaines la France a inséré leavortement dans la Constitution et il y a quelques jours, le Parlement européen a voté une résolution demandant d’inclure dans l’art. 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’UE, l’avortement sûr et légal, le gouvernement Meloni a organisé une attaque silencieuse contre l’autodétermination des femmes, à travers l’amendement à la Pnrravec une question de confiance, qui garantirait la présence constante d’associations pro-vie « qualifiées » dans les centres de conseil à des fins persuasives et morales en faveur de la maternité, en les finançant activement avec les fonds du Pnrr, tout en privant davantage de ressources des fonds publics santé”. Ainsi commence la longue note de Tania Bruzzese, Président de l’Association Métropolitaine PD de Reggio de Calabre.

« Il faut considérer la question de manière dualiste car en effet les centres d’écoute fournissent déjà une assistance aux femmes qui envisagent d’avorter et qui choisissent ensuite de poursuivre leur grossesse par l’intermédiaire de psychologues et d’assistantes sociales, en mettant ces dernières en contact avec des femmes avec des associations qui fournir des biens de première nécessité et que l’objection de conscience est déjà garantie par la loi, à tel point que dans certaines régions il est difficile de trouver des médecins qui ne soient pas objecteurs de conscience : alors par hasard, la nécessité de cet amendement est peut-être de financer des entités proches de la gouvernement qui a pour mission de limiter les droits des femmes, causant davantage de douleur et d’humiliation aux femmes qui font un choix difficile comme l’avortement ?

« Forcer une femme à écouter les battements du cœur du fœtus ou envoyer un moralisateur qui stigmatise le sentiment de culpabilité est la voie d’un gouvernement faible, incapable de garantir des droits en pleine autonomie et dans le respect de ses citoyens : cela se traduit par une énième offense contre les droits des femmes. droits et il faut rappeler haut et fort un concept fondamental inhérent à la personne comme celui de la différenciation de déclinaison entre masculin et féminin. La grossesse affecte la femme dans sa globalité et a un impact psycho-physique qui ne peut être inclus dans la définition de l’intégrité de la personne. Aucun amendement ne peut réglementer et réguler le contrôle des femmes sur leur propre corps, l’avortement est toujours une décision douloureuse qui en soi met la femme dans un état de fragilité psychologique et qui laisse inévitablement des conséquences”.

« Un gouvernement qui a en fait peur du peuple et qui l’affecte donc en sapant ses possibilités de choix, en restreignant jour après jour la possibilité d’autodétermination dans le cadre de la légalité par des mesures – résultat d’une culture de refus de la reconnaissance de l’identité féminine, de la justice sociale et de l’équité – qui limitent de plus en plus les conditions de subjectivités libres et autonomes. Ainsi, ce qu’Enrico Berlinguer disait en 1981 depuis la scène de Florence lors de la manifestation en faveur des 194 est plus que jamais d’actualité : « Les menaces d’involution proviennent de la tendance générale de la société. […] affaiblissant l’esprit de solidarité et la lutte pour la justice sociale. Ces phénomènes poussent la société vers la barbarie, dont on ne peut se sauver en fermant les yeux. […]».

« La liberté des femmes effraie un monde réactionnaire et suprémaciste, un monde asservi par la biopolitique jusqu’aux dynamiques complexes de la mondialisation, y compris les guerres : nous devons lutter, nous avons besoin d’une grande mobilisation pour l’inviolabilité de la liberté des individus. Les choix du gouvernement nous appellent à un combat continu, sans jamais reculer, pour défendre jour après jour les droits des femmes, des plus faibles, car il est plus évident que jamais que dans cette société nous considérons les droits civiques comme définitivement acquis. est faux. Le combat pour le droit à l’avortement est le combat de tous et prend la valeur d’une défense d’un héritage culturel. Travaillons donc à une mobilisation constante, unitaire et générale. »

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