Elle réalise une vidéo d’un chien “maltraité” et est dénoncée par le propriétaire de l’animal pour des accusations sur les réseaux sociaux : le procès de Varèse

Le post “plainte” concernant les conditions suspectes dans lesquelles un chien a été gardé c’est devenu viral et le propriétaire de l’animal, résidant dans un petit hameau de la Vallée d’Aoste, a signalé (à son tour) sur les réseaux sociaux la femme responsable des accusations, qui a fini par être jugée à Varèse. L’histoire, incroyable, a été racontée à l’extérieur et à l’intérieur de la salle d’audience par les nombreuses personnes – amis et voisins – qui ont accompagné la femme qui se sentait diffamée sur Facebook au palais de justice de Varèse : il s’agit d’un habitant de hameau du «Cret de Breil», Châtillon, centre de près de 5 mille habitants.

Les faits se réfèrent à ce qui s’est passé en juin 2021 : une Varèse en vacances il a remarqué sur le balcon d’une maison un Border Collie de taille moyenne laissé au soleil pendant de nombreuses heures, selon lui. La femme a d’abord envoyé plusieurs courriels à la police locale qui, suite à ces messages, a dépêché une patrouille sur place même si le rapport de service des policiers ne révélait rien de significatif : l’animal n’avait aucun problème et était en bonne santé (il était en bonne santé). J’ai découvert plus tard, lors du procès, qu’Utah, c’est le nom du Border Collie, ne pouvait pas rester dans le jardin à cette époque en raison d’un problème gastrique). Puis, de retour à Varèse, à la fin des vacances, l’accusée a écrit un message sur Facebook précisant son emplacement et son adresse du « mauvais crime », accompagné d’une photographie de la maison et de mots de dénonciation publique : « Nécessaire pour vivre un chien de taille moyenne 24h/24 sur un balcon qui fera 2 mètres carrés dans l’indifférence de tous. Dès les premières heures de l’après-midi, le soleil arrive et bat dangereusement jusqu’au coucher du soleil : voici la photo du chien montrant une attitude capable de se jeter du balcon…”, post qui se terminait par l’invitation à envoyer un email de protestation à le commandement de la police locale de Saint-Vincent et Châtillon «pour mettre fin à ce dégoût honteux», un bureau qui s’est vite retrouvé inondé de courriels venant de toute l’Italie, de messages s’interrogeant sur le sort du chien, dans certains cas même offensants ( tous acquis dans les documents de la dernière audience).

En attendant le message avait reçu des dizaines et des dizaines de commentaires et de partages à tel point que la résidente – qui n’avait pas de profil Facebook et qui avait été informée par certaines connaissances de ce qui se passait en ligne – quelqu’un est allé personnellement sonner à la porte pour l’interroger sur l’état du chien. Une situation embarrassante également au regard du contexte dans lequel se sont déroulés les événements qui ont plongé tout le hameau de montagne dans la tourmente pour finir dans l’œil du cyclone. D’où la décision de déclarer : « Cela aurait été tout beaucoup plus simple si le touriste, au lieu de publier des messages dénués de sens et mensongères, avait pris la peine de m’appeler à l’interphone: Je lui aurais expliqué qu’Utah n’avait pas été abandonné sur le balcon, il était là, à cette époque, pour une raison précise.” La prochaine audience est prévue en novembre, date à laquelle l’accusé prendra la parole.

Tags:

PREV Juin 1865, le premier numéro du Corriere del Golfo témoigne de la naissance de la bourgeoisie de La Spezia
NEXT StraPad 2024 – Commune de Palerme