San Remo. « SNous sommes entrés dans le vortex électoral. L’heure des sondages commence, même ceux sur mesure. Il faut se demander à quoi ils servent s’ils sont faux ; mais peut-on vraiment croire qu’aujourd’hui, le citoyen qui va voter sera influencé par le fait de connaître les données d’une statistique partisane ? Mais ce n’est pas grave, rien de nouveau, tout cela fait partie du film électoral habituel, où chacun doit avoir son mot à dire, chacun doit attirer l’attention en proclamant de bonnes intentions et des choix toujours meilleurs que ceux des autres. L’heure est aux promesses, mais les promesses de marin qui viennent de ceux qui ont récemment occupé des postes de gouvernement municipal et qui nous ont quittés depuis longtemps, trop longtemps, en attendant des solutions, ne sont plus efficaces. Les gens sont fatigués et pourront juger.” dit Donato Di Ponziano.
Le communiqué de presse continue : «Il faut vraiment se demander où étaient les phénomènes bien connus qui sonnent aujourd’hui encore à la porte pour demander le vote, nous disant une fois de plus que les problèmes cette fois seront résolus, ceux qui sont restés sous nos yeux pendant des années sans jamais trouver une solution. Je me souviens qu’il y a 10 ans, les déchets ont commencé à s’accumuler à la vue de tous dans nos rues. Aujourd’hui, les désagréments ont même augmenté, les routes sont cahoteuses, la propreté manque et trouver une place de parking même pour un scooter est une tâche difficile. Ce n’est pas nous qui le disons, mais les centaines de signalements reçus par Andiamo ! dans notre campagne d’écoute. Et ils ont le courage de représenter leurs visages pompeux sur des affiches, avec leurs slogans, pleins de mots, mais au contenu démagogique. Se tromper dans ses choix est quelque chose qui arrive à tout le monde, mais persévérer serait vraiment diabolique. »
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