Galerie Risorgimento, après les peintures murales de Run, un nouveau design pour l’intérieur

ANCONA En plus de la fresque Run, la Galerie Risorgimento fera également l’objet d’un restyling intérieur. La Municipalité a entamé une collaboration avec…

Déjà abonné ? Connectez-vous ici!

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE SPÉCIALE

MENSUEL

4,99 €

1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois

ACTIVER MAINTENANT

Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an

Abonnez-vous avec Google

ANCONA En plus de la fresque Run, la Galerie Risorgimento fera également l’objet d’un restyling intérieur. La Municipalité a entamé une collaboration avec l’architecte et designer Enzo Eusebi de San Benedetto del Tronto, professionnel avec des projets réalisés dans le monde entier, pour le réaménagement de la partie interne du tunnel. «Les travaux concerneront la partie ingénierie des installations et les murs pour une mise en valeur avec des éléments de design tant à l’intérieur qu’à l’extérieur pour donner encore plus de visibilité à la fresque».

La comptabilité de la Commune a ouvert la possibilité de contracter des hypothèques, de sorte que l’intervention, d’un coût total de 400 mille euros, peut être réalisée sans avoir à chercher du financement. Sur le timing du restylage, l’édile s’est montré prudent : “Pas avant 2025″. Quant à la fresque murale : « Les travaux seront terminés à la mi-mai. D’ici avril, l’artiste terminera la façade côté Via Bocconi.” Pendant quelques jours, Run interrompit l’exécution du tableau car il devait déménager à Shanghai pour un engagement déjà convenu.

Les coûts de l’intervention (12 mille euros plus TVA pour la représentation artistique et 8 mille pour le matériel et la location du chariot électrique) sont en partie supportés par la Commune et en grande partie grâce aux sponsors. La représentation représente les éléments distinctifs de la ville d’Ancône : on y trouve les célèbres statues des lions de la cathédrale de San Ciriaco et la vue sur le Guasco, les murs historiques, qui n’ont survécu que partiellement aux désastres de la guerre et du temps, les masque de la Fontaine du Calamo, l’arc en béton le plus moderne de Fincantieri, une entreprise qui a eu un impact sur le développement de la ville, avec de nombreuses références au port et à la mer. Et puis des personnages du passé, comme le pêcheur Paccamele, une apparition du populaire Umbertì, des détails de fleurs, de poissons, d’animaux, d’objets de la vie commune.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Courrier Adriatique

PREV Francesco Moser et le Giro d’Italia, il y a 40 ans le triomphe aux Arènes de Vérone : « Ce rugissement restera indélébile »
NEXT Les douces géométries qui rendent Turin unique