le TAR bloque la démolition

le TAR bloque la démolition
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PADOUE – Dans la via Umberto I, du côté de Prato della Valle, se trouvent deux cheminées d’un magasin de kekab que la Commune – les considérant comme illégales – veut démolir, mais ne le fait pas…

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PADOUE – Dans la via Umberto I, du côté de Prato della Valle, il y a deux conduits de fumée d’un magasin de kekab que la Municipalité – les considérant injurieux – veut s’effondrer, mais n’y parvient pas.

L’arrêt est survenu jeudi avec le Le goudron de Vénétie qui a clôturé le premier chapitre d’une histoire qui a ses racines il y a huit ans, lorsqu’en 2016 lors des travaux de rénovation Dans ce qu’est le “Bangla Kebab & Pizza” situé Corso Umberto I, le propriétaire avait installé deux conduits d’évacuation pour le système d’extraction de la cuisine, ce qui n’aurait cependant pas été en ordre. D’un côté le Palais Moroni qui, sur la base d’une série de rapports de la police locale, avait décidé d’utiliser une main de fer en donnant son feu vert à la démolition des deux barriques ; de l’autre, le propriétaire du magasin d’alimentation qui, en produisant des documents de la municipalité elle-même, affirmait que les choses avaient été faites de manière professionnelle.

HISTOIRE

Après plus de cinq ans et aprèsexposé en raison d’irrégularités de construction présumées présentées à la municipalité par un habitant de l’immeuble, la police locale a procédé en juin 2021 à deux inspections pour constater que les conduits de fumée placés sur le mur de l’immeuble de via Umberto I “persistaient en dessous du sommet du toit du bâtiment”. D’où la communication au propriétaire du kebab de mettre les systèmes aux normes “en prolongeant – écrit l’administration – les conduits de fumée au-dessus du faîte du toit du bâtiment, de manière à véhiculer les vapeurs de cuisson directement dans l’atmosphère”. au-dessus du toit ». Douze autres mois se sont écoulés la police locale était revenu au bâtiment en soulignant que les travaux n’avaient pas été réalisés et que “les conduits de fumée, positionnés sur le mur est du bâtiment, n’avaient pas été modifiés et que la ligne d’avant-toit du toit, à vol d’oiseau, était à moins de 10 mètres depuis la véranda de « l’appartement situé au dernier étage du numéro 91 et depuis la fenêtre située sur le toit du même appartement ». En date du 27 mars 2023, voici le mail du Bureau des Bâtiments Privés de la Commune annonçant le début des procédures de démolition des ouvrages illégaux.

LE DOCUMENT

C’est à ce moment-là que le propriétaire du kebab en dépoussière un des archives. Dia (Déclaration de début d’activité pour travaux de construction) qui aurait permis au commerçant de construire les deux cheminées en litige, en application des dispositions du règlement municipal de construction en vigueur à l’époque, dans la version approuvée avec la résolution du Conseil Municipal. Mairie, numéro 41 du 5 juin 2006. Un Dia sur lequel la Commune pourrait intervenir même des années plus tard (en cas d’erreur dans la rédaction du permis) mais qu’elle ne pourrait certainement pas annuler avec un ordre de démolition. Le TAR écrit : « Le modus procédandi suivi par l’administration municipale est donc certainement clair illégitime. Le DIA, en effet, une fois perfectionné, constitue une qualification valable et effective, qui ne peut être supprimée, par disposition législative expresse, que par l’exercice du pouvoir décisionnel de légitime défense. Il s’ensuit l’illégitimité de la mesure répressive. »
Et les conduits restent là.

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Le Gazzettino

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