Pollution de l’air : en 2023, les unités de contrôle de Lomellina ont détecté des paramètres inférieurs à ceux de Pavie

Mettre en évidence le questions environnementales critiques présents sur notre territoire, qui disposent d’un impact sur notre santé. Et surtout, essayez de comprendre quels pourraient être les problèmes des solutions pour les limiteridentifier les perspectives de changement. Ce sont ces questions qui sont au centre de conférence – «Pollution à Lomelline»–, bien fréquenté, organisé samedi dernier à Mortier par l’association Un avenir durable à la Lomellinaavec deux intervenants exceptionnels : Fabio CambialliDirecteur de Harpe LombardieEt Matteo Giavazzi, ingénieur environnemental expert en systèmes industriels. Avant d’analyser le différentes sources qui déterminent lela pollution de l’air – industrie, circulation automobile, chauffage civil, agriculture et élevage, incendies incontrôlés – un fait doit être souligné : l’air reste polluémais les données montrent comme, comment ces dernières années (depuis 2005), la situation s’est globalement améliorée.

On le trouve aussi bien dans la province de Pavie que, plus particulièrement, dans Lomellinede nombreux paramètres sont inférieurs par rapport à concentrations enregistrées par les unités de contrôle de la capitale. L’année dernière, par exemple, le Concentrations de PM10 à Lomellina, ils étaient en moyenne de 25 microgrammes par mètre cube, à Pavie 28 ; des relations similaires ont également été trouvées pour 14h30 (c’est-à-dire les particules les plus fines), avec une moyenne annuelle de 17 microgrammes à Lomellina et de 20 à Pavia Minerva. Idem pour le nombre de jours de dépassement du seuil des 50microgrammes : 27 jours à Parona, 33 à Pavie. Concernant le suivi du premier trimestre 2024les données montrent que leniveaux détectés à Lomellina Je suis superposable à ceux de Lombardie.

PM10 – NOMBRE DE JOURS EXCÉDANT 50 microgrammes/mètre cube

Ils sont présents dans notre Province 12 unités de contrôle8 sont placés à Lomelline – qui surveillent en permanence la qualité de l’air (Pm10, Pm2,5, NOx, c’est-à-dire oxydes d’azote). Leurs performances sont en réalité comparables : la centrale Minerva Pavia, par exemple, enregistre des données très similaires à celle située à Sannazzaro. Cela arrive parce que les effets des polluants atmosphériques sont répandus; c’est-à-dire qu’à Milan, il est possible de détecter des effets qui arrivent également de Pavie ou de Crémone.

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Le reportage complet dans le numéro de L’Informatore Vigevanese en kiosque

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