«Sa mère ne la laisse pas aller à l’école»

«Sa mère ne la laisse pas aller à l’école»
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MESTRE – «Le Tribunal de Venise a ordonné, dans la dernière disposition du 10 avril 2024, d’agir en urgence pour que ma fille puisse enfin…

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MESTRE – «Le Tribunal de Venise a établi, dans la dernière disposition du 10 avril 2024, d’agir d’urgence pour que ma fille puisse enfin fréquenter l’école obligatoire et avoir une vie sociale normale comme tous les enfants de son âge, vivant librement la relation avec ses pairs et avec la branche paternelle de la famille. Aucun tribunal n’a “arraché” l’enfant à sa mère, qui continuera à vivre avec l’enfant, sans préjudice du droit de la mineure d’accomplir ses activités quotidiennes, actuellement entravées par sa mère”. Sur le combat familial pour la « reconnaissance tardive » de la fillette de 8 ans par son père qui, pendant la gestation, il voulait que sa mère avorteLe tout aboutissant à la disposition – également contestée par divers responsables politiques – qui obligera la mère à “remettre” la petite fille aux services sociaux pendant la journée, le père intervient, énumérant les décisions en sa faveur et dénonçant la “disparition”. de la petite fille.

La petite fille n’est pas allée à l’école depuis deux ans

«Depuis 2020, quatre arrêts du Tribunal de Venise, de la Cour d’Appel et deux arrêts de la Cour de Cassation ont établi le plein droit de ma fille à la biparentalité – intervient le père -. Les mêmes dispositions ont confié l’enfant aux services sociaux de la Commune de Venise, organisant son placement primaire chez la mère et établissant un calendrier de visites qui aurait dû régler les rencontres entre le père et la fille. Personne n’entendait « arracher » la petite fille à l’affection de sa mère : bien au contraire, c’est cette dernière qui empêche de manière démotivée la petite fille d’avoir tout contact avec moi depuis mars 2020, et du jour au lendemain il a soustrait la petite fille à l’affection de tout le noyau paternel de la famille, y compris les grands-parents. Mais la mère a également accusé le père de violence. «Le comportement violent présumé à son égard a été examiné par les autorités judiciaires à trois niveaux de jugement, ainsi que par le ministère public – répond l’homme -. Dans tous ces cas, toute accusation portée contre moi était catégoriquement exclue (avec condamnation définitive ou licenciement). Ce sont des fantasmes sans aucune sorte de corroboration – poursuit-il -, alors que ma fille a effectivement disparu dans les airs. La mère a désormais perdu la trace de la mineure, empêchant toutes les autorités compétentes de la voir. La petite fille n’est pas allée à l’école depuis deux ansétant retiré de la fréquentation scolaire régulière. Bien qu’elle soit en âge de scolarité obligatoire, l’enfant n’a pas fréquenté un seul jour d’école (la petite fille aurait toujours suivi l’éducation parentale requise par la Constitution, en réussissant les examens, ndlr). Ce n’est qu’à la suite de ces comportements très graves perpétrés au détriment de ma fille que le Tribunal de Venise a décidé d’intervenir pour que l’enfant puisse avoir une vie sociale normale.”

Questions

Cependant, la mère a été défendue publiquement et pendant des années par de nombreux dirigeants politiques, y compris nationaux, en portant le cas à l’attention de la Commission parlementaire sur le féminicide et en impliquant également le ministre de la Justice Carlo Nordio. «Il est inquiétant que certains conseillers municipaux ou anciens parlementaires en quête de visibilité et de votes, manifestement induits en erreur et mal informés sur la question, utilisent leur mandat pour apporter leur soutien à une femme accusée de délits très graves – contre-attaque le père -. En tant que citoyen, j’espère que la politique et les institutions s’engageront sans ambiguïté et sans réticence à affirmer qu’il existe des valeurs partagées indispensables, comme celle qui établit le respect des sentences des tribunaux. Il faut désormais faire en sorte que la petite fille, après quatre longues années pendant lesquelles elle a été éloignée de sa vie, retrouve une vie normale, comme les Tribunaux de la République l’ont établi dans son intérêt exclusif.

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Le Gazzettino

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