premières installations en quatre ans. «Ils garantiront 20% de l’énergie nationale»

Le nucléaire entre officiellement dans la stratégie énergétique italienne. Et il vise, lorsqu’il sera pleinement opérationnel, à contribuer à hauteur d’environ 20 % au mix énergétique du pays qui durera…

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Le nucléaire entre officiellement dans la stratégie énergétique italienne. Et il vise, lorsqu’il sera pleinement opérationnel, une contribution d’environ 20 % au mix énergétique du pays qui reposera principalement sur les énergies renouvelables. L’Italie pourrait disposer, selon les projections présentées aujourd’hui par le gouvernement, d’au moins 15 mini-réacteurs capables de soutenir et de s’intégrer à la chaîne d’approvisionnement, au monde des services publics et surtout aux entreprises à forte intensité énergétique, qui souffrent aujourd’hui le plus de les coûts du « pouvoir ». Ce que l’on imagine, c’est un monde, plus si lointain, au-delà de 2030, dans lequel une zone industrielle pourra décider de construire son propre mini-réacteur, à peine plus grand qu’un conteneur, à des coûts abordables et avec une sécurité maximale.

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Le ministre de l’Environnement et de la Sécurité énergétique, Gilberto Pichetto Fratin, a confirmé que la production d’énergie avec des mini-réacteurs entrera pour la première fois en noir et blanc avec des scénarios jusqu’à 2030 et des perspectives jusqu’en 2050 dans le Plan National Intégré Énergie et Climat (Pniec) définitif. . Le ministre lui-même enverra le document final du Plan à Bruxelles d’ici juin. Il s’agit bien sûr d’une projection toujours en cours, mais “elle présentera également des analyses de scénarios contenant une part possible de l’énergie produite à partir de sources nucléaires dans la période 2030-2050”, a confirmé Pichetto Fratin ces derniers jours, en référence à la comparaison avec l’énergie actuelle du mélange. Ce sujet est traité par l’un des sept groupes de travail dédiés de la Plateforme nationale pour l’énergie nucléaire durable coordonnée par Mase avec le soutien de l’Enea et de Rse, à qui le ministre a demandé d’avancer aux prochaines semaines ses scénarios prévisionnels, en ce qui concerne la date limite de septembre.

LES RÈGLES

Cela prendra 3, au maximum 4 ans. Ou peut-être encore moins si la technologie nucléaire évolue au même rythme surprenant que l’intelligence artificielle. Puis des premiers prototypes en circulation en Europe nous passerons à la construction industrielle des fameux mini-réacteurs avancés de troisième génération, les Small Modular Reactors (SMR) et de quatrième génération, les « Advanced Modular Reactors » (AMR). ) immédiatement après 2030. Les SMR « Small Modular Reactor » sont de petite à moyenne taille. Ils s’intègrent bien à un réseau électrique bien développé comme celui européen et peuvent soutenir la diffusion généralisée des énergies renouvelables qui, étant non programmables, nécessitent le soutien d’une source constante. Le nucléaire peut donc remplacer, au moins en partie, le gaz. De petite taille et modulaires, les mini-réacteurs réduisent considérablement les délais de construction et les investissements initiaux.
Mais avant qu’un réacteur puisse être construit en Italie, il faut un système de règles « nucléaires », comme celles qui existent aujourd’hui en France et dans d’autres pays, pour autoriser et vérifier la mise en service des centrales. Les règles arriveront au Parlement, a assuré le ministre à Radio24. Concernant les petits réacteurs modulaires, poursuit Pichetto, « en Italie, nous pouvons compter sur Newcleo, une entreprise d’avant-garde car elle travaille au plomb (refroidissement du plomb fondu, plus sûr), tandis que d’autres entreprises à l’étranger travaillent encore à l’eau et utilisent les brevets d’Enea. . Les tests des boîtiers SMR auront lieu à Brasimone. Toujours sur l’énergie de fusion, pour 2050, nous préparons l’onduleur de l’usine Iter en France à Frascati.” L’Italie est en retard mais revient sur les rails.

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