Événement au musée. Nouveau rendez-vous prévu pour le mois de mai de la revue littéraire Storie alessandrine. Accompagnement musical de Carlo Fortunato.

Événement au musée. Nouveau rendez-vous prévu pour le mois de mai de la revue littéraire Storie alessandrine. Accompagnement musical de Carlo Fortunato.
Événement au musée. Nouveau rendez-vous prévu pour le mois de mai de la revue littéraire Storie alessandrine. Accompagnement musical de Carlo Fortunato.

Nouveau rendez-vous prévu pour le mois de mai de la revue littéraire Contes d’Alessandrine : un livre, de nombreuses vies – organisée par Albino Neri et Mauro Remotti -, et promue par : Amis du Musée Ethnographique Gambarina, Alessandria in Pista, Club culturel Marchesi del Monferrato , Circolo provincial de la Presse, Mouvement Chrétien Ouvrier d’Alexandrie, Société Alessandrina d’Études Italiennes, Spazioidea et Unitre Alessandria.

Le mardi 14 mai, à 17h30, dans la salle du Musée « Il était une fois », sur la Piazza della Gambarina n.1, aura lieu la présentation du livre Colline di Carta (Edizioni San Giuseppe) de Silvia Perosino, qui discutera avec le journaliste Pier Carlo Guglielmero. Emiliana Conti, présidente du club culturel Marchesi del Monferrato, y participera. Accompagnement musical de Carlo Fortunato.

SYNOPSIS : J’ai toujours pensé que le territoire qui nous génère le fait souvent à son image et à sa ressemblance, ou que parfois en l’habitant, on finit par lui ressembler. Je me souviens des anciens agriculteurs de mon village, ils travaillaient la terre, les rides qu’ils accumulaient les transformaient en ce même matériau ; ils avaient des mains et des visages qui ressemblaient à des mottes, semant des sillons, des callosités et des nœuds avec les mêmes contorsions que les pousses des rangs. Je me sens moi-même inévitablement comme une colline, ce qui en elles est de la terre et en moi mes racines sont des muscles et des veines. Je ressens toutes les courbes, les montées et les descentes de ces morceaux du monde qui semblent des femelles allongées, toutes les cuisses et les seins doucement abandonnés, sans jamais comprendre si avec résignation à accueillir ou complicité à se laisser promener. Collines : parce qu’ici on monte sur une colline, on monte et on descend, on courbe et on recule presque sans rencontrer de plateaux, et si on les trouve ce sont des sillons d’espace entre une colline et une autre, et on aperçoit des montagnes d’en haut, et d’en bas, vous apercevez des vagues vertes qui sont là pour vous rappeler la forme de la maison. Du papier : parce que souvent, fermer la dernière page d’un livre équivaut à la fin d’un voyage ; interne, mental et émotionnel.

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