COMMUNAUTÉ DE POLICE DE BOLZANO * SÉCURITÉ: «ATTAQUES À POINGS ET BLESSURES À UN MÉDECIN D’URGENCE, UN ÉTRANGER DE 36 ANS SIGNALÉ»

COMMUNAUTÉ DE POLICE DE BOLZANO * SÉCURITÉ: «ATTAQUES À POINGS ET BLESSURES À UN MÉDECIN D’URGENCE, UN ÉTRANGER DE 36 ANS SIGNALÉ»
COMMUNAUTÉ DE POLICE DE BOLZANO * SÉCURITÉ: «ATTAQUES À POINGS ET BLESSURES À UN MÉDECIN D’URGENCE, UN ÉTRANGER DE 36 ANS SIGNALÉ»

09h32 – samedi 11 mai 2024

(Le texte suivant est intégralement extrait de la note de presse envoyée à l’Agence Opinion) –
///

Lors d’une visite aux urgences de l’hôpital San Maurizio, un citoyen nigérian de 38 ans, nommé KA, avec de multiples condamnations pénales pour des délits de diverses natures et gravités, notamment liés au trafic de drogue, après être entré dans la clinique et avoir exigé une ordonnance d’un médicament très coûteux sans en avoir le droit, s’est soudainement mis à attaquer le médecin qui le soignait avec des menaces et des insultes, puis à le frapper physiquement et à lui donner deux coups de poing, l’un à hauteur d’épaule et l’autre à la base des reins. clavicule, avec une telle violence qu’elle cause à la victime des blessures corporelles qui peuvent être guéries en 15 jours.

Sollicités par les services médicaux d’urgence, les policiers de l’hôpital se sont immédiatement portés au secours du médecin blessé, puis ont placé l’agresseur en garde à vue auprès des agents de sécurité de l’hôpital, qui l’avaient entre-temps arrêté alors qu’il sortait de l’hôpital. continuant à crier avec une attitude agressive et provocatrice, exigeant des médicaments qui, selon lui, étaient utiles à la survie et que le médecin avait précédemment, comme indiqué, faute de conditions, refusé de lui prescrire.

À la fin des activités de la Police Judiciaire, l’étranger a été dénoncé par le personnel du Commissariat au Ministère Public pour les délits de violences volontaires et de menaces et violences contre un Agent Public.

Le Nigérian, déjà connu de la police, réside régulièrement sur le territoire national, puisqu’il n’a pas encore pu être expulsé en attendant la reconnaissance de la protection internationale ; malgré cela, et compte tenu de la gravité des précédents et du comportement adopté lors de l’arrestation, le commissaire de police de la province de Bolzano Paolo Sartori a immédiatement chargé l’Office des étrangers de signaler l’incident à la Commission territoriale pour les réfugiés, afin de ne pas pour lui permettre d’obtenir le statut « d’asile » et, par conséquent, de pouvoir prendre un Arrêté d’Expulsion à son encontre pour l’éloigner définitivement de notre Territoire National.

« Ce qui s’est passé aux urgences de l’hôpital municipal représente un épisode criminel très grave, caractérisé par une violence particulière envers un médecin – a souligné le commissaire Sartori -. Des épisodes similaires ne peuvent être tolérés : ceux qui travaillent au service de la Communauté ne peuvent pas être soumis impunément à des actes de violence de la part de ceux qui, accueillis dans notre pays, ont démontré à plusieurs reprises qu’ils ne voulaient pas accepter les règles de la coexistence civile et faire preuve de violence. le propre style de vie.

PREV une voiture risque de se retrouver dans le lac de Côme à Laglio
NEXT Avellino : à la recherche du nouveau gardien titulaire