le calvaire quotidien d’un élève handicapé pour rejoindre la salle de classe

le calvaire quotidien d’un élève handicapé pour rejoindre la salle de classe
le calvaire quotidien d’un élève handicapé pour rejoindre la salle de classe

TRANI – Discriminé en raison d’un ascenseur en panne trop longtemps. C’est l’histoire d’un jeune de Trani âgé de 18 ans, handicapé, qui fréquente la quatrième année d’Itis Jannuzzi à Andria, aujourd’hui officiellement pénalisé par les retards bureaucratiques qui empêchent la réparation de l’ascenseur de son école. D’un point de vue logistique, l’étudiant est pleinement conscient du fait qu’il doit quotidiennement faire la navette entre sa ville et la ville où se trouve l’institut technique qu’il fréquente. Cependant, au sein de ce complexe, sa qualité de vie a changé au cours du mois dernier, et malheureusement pour le pire.

En effet, l’ascenseur qui lui permettrait de rejoindre sa salle de cours au premier étage sans l’aide des collaborateurs de l’école est bloqué depuis longtemps. Le jeune homme souffre en effet d’un handicap partiel qui l’oblige à marcher à l’aide d’un déambulateur. Mais cela devient alors un obstacle insurmontable lorsque, l’ascenseur ne fonctionnant pas, l’étudiant est obligé de monter les escaliers : d’une main il peut s’appuyer sur la rampe mais de l’autre il a besoin de quelqu’un pour l’aider et d’une autre que d’amener le marcheur aussi.

Cette histoire se répète depuis trop de semaines et, de plus, elle ne concerne pas seulement lui mais aussi une enseignante avec un problème pas aussi important que celui du garçon, mais en tout cas elle a été trop objectivement pénalisée, ainsi que de temps en temps. chronométrer les élèves blessés lors de leurs activités sportives.

La mère de l’enfant, Mme Vincenza, est en contact depuis un certain temps avec la direction de l’école, la pressant de trouver une solution. Et à son tour, le directeur de l’institut, Giuseppe Monopoli, assure qu’il a été le protagoniste d’une longue correspondance aussi bien avec la Province de Barletta Andria Trani, chargée de résoudre les problèmes des bâtiments scolaires, qu’avec le même opérateur qui s’occupe de entretien des ascenseurs. Ce dernier a répondu que la Province est parfaitement consciente du problème, mais ne s’est pas encore assurée que l’entreprise puisse le résoudre.

Il semble donc évident qu’il s’agit là d’un problème purement économique qui aurait pourtant dû être résolu rapidement. En fait, un problème de ce type, qui perdure depuis si longtemps, crée une barrière non seulement physique, mais aussi morale et psychologique pour un garçon qui devrait se concentrer uniquement sur ses activités scolaires et se sent, malgré lui, comme un élève de seconde classe.

Le journaliste a tenté de contacter le président de la province, Bernardo Lodispoto, pour obtenir des informations de sa part sur le délai de résolution du problème : nous attendons une réponse qui rassure l’enfant, la famille et tous les acteurs intéressés par cette affaire qui aurait dû être ordinaire et, au contraire, cela devient désagréablement extraordinaire.

PREV Cortège pro Palestina à Turin, manifestants sur les quais de la gare Porta Nuova. Une banque et un distributeur ont été dégradés
NEXT Été sans trains, la ligne Jeux olympiques d’hiver et la ligne Pavie-Mortara-Vercelli arrêtées (pour travaux) : trois mois d’arrêt