Terni, un autre samedi de violence et de folie en raison de la bagarre entre citoyens non communautaires près du centre

Terni, un autre samedi de violence et de folie en raison de la bagarre entre citoyens non communautaires près du centre
Terni, un autre samedi de violence et de folie en raison de la bagarre entre citoyens non communautaires près du centre

TERNI – La bagarre entre citoyens non européens en pleine rue, le sang sur le solla terreur de ceux qui habitent à proximité du centre et commencent à demander de l’aide au numéro d’urgence unique craignant que quelqu’un ne meure.

Lors d’une violente dispute, l’un des prétendants il jette une bouteille de bière et elle se brise sur le mur d’un des bâtiments de via Martiri della Libertà et risque de heurter deux garçons marchant sur le trottoir.

Et puis la police arrive en force mais les protagonistes d’une énième bagarre ont déjà disparu dans les airs. Les agents trouvent l’un d’entre eux, un Africain ensanglantés et à moitié nus, via del Raggio Vecchio et il veut les attaquer. Pour l’arrêter, ils sont obligés d’utiliser le Tasers.

C’est la chronique d’un énième samedi soir de violence et de folie, de gens ivres totalement incontrôlables qui mettent en danger la sécurité des personnes qu’ils croisent dans la rue.

La semaine dernière, c’était le tour d’un Tunisien, battu à mort par une foulegroupe de compatriotes via Lanzi, au coeur de la vie nocturne.

Cette fois, la violence se rapproche du centre, vers la Via Martiri della Libertà.

Les premiers signes sont apparus vers onze heures du soir, lorsqu’un groupe d’Africains s’est rassemblé devant un club. ils ont levé les coudes. Tous deux commencent à se disputer et, quelques secondes plus tard, une douzaine de citoyens non européens surgissent de nulle part et se battent. Quelqu’un donne l’alerte mais dès l’arrivée de deux patrouilles de police sont toutes parties et ceux qui sont restés semblent calmes.

Puis à nouveau des combats et des cris. Il est minuit et demi lorsqu’une nouvelle violente dispute éclate en pleine rue. Des coups de pied et de poing impitoyables, accompagnés de jets d’un chargeur de téléphone portable et d’une bouteille de bière qui s’écrasent sur le mur de l’immeuble, à quelques centimètres de deux garçons qui vaquent à leurs occupations sur le trottoir et qui, terrifiés, s’enfuient. course.

Dans ces minutes on arrive à 112 des dizaines d’appels passés par des habitants de la rue proche du centre. Deux voitures de police arrivent à nouveau mais il n’y a aucune trace du groupe, qui entre-temps s’est éloigné vers Via di Porta San Giovanni.

Une autre demande d’intervention vient de la rue du Vieux Rayon, où se trouve un citoyen non européen à moitié nu et ensanglanté qui devient fou. Il fait partie de ceux qui ont été battus peu avant via Martiri della Libertà, mais la police ne parvient pas à s’approcher. Ils sont cinq, ils tentent de le bloquer mais lui, complètement ivre, se montre très agressif et continue de les menacer. Vous devrez utiliser le Taser pour l’arrêter. Il est chargé dans l’ambulance 118 et transporté à l’hôpital où, en plus de recoudre ses blessures, il suit les soins médicaux obligatoires.

La police a pour tâche d’enquêter sur les exploits de ceux qui irritent les nerfs de ceux qui vivent dans différents quartiers de la ville. Les habitants de la rue qui a été le théâtre d’une énième nuit sanglante sont exaspérés et préparent une exposé qui arrivera sur la table du préfet et du commissaire : «C’est comme ça presque tous les soirs ici maintenant, avec des gens ivres et sous l’influence de drogues et des situations qui ne peuvent plus être gérées le week-end. Nous avons peur de quitter la maison. »

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