Ferrara, enquêtes sur sanctions et renvois au Spal La Nuova Ferrara

Ferrara, enquêtes sur sanctions et renvois au Spal La Nuova Ferrara
Ferrara, enquêtes sur sanctions et renvois au Spal La Nuova Ferrara

Ferrare Après plus de dix ans de tranquillité, les bleus et blancs ressentent à nouveau un frisson ennuyeux, mêlé à ce sentiment général de tribulation généré par les derniers événements d’entreprise qui dépassent le rectangle vert. Le grain lié au retard de paiement de l’Irpefrésultant en référencement du club et le sanctions probables qui arrivera plus tard, a clairement miné le moment serein d’espoir que la Spal de M. Di Carlo avait pu remettre sur la table de son présent, en attendant la nouvelle planification. Il attend de comprendre comment l’entreprise se comportera dans les prochains jours pour stopper la situation et minimiser les dégâts (en termes de pénalités au classement de la saison prochaine), rappelons-nous le désagréable situations du passé liée à des problématiques extra-terraines, bien que différentes et certainement dans une moindre mesure que l’actuelle.

Épisode de 1975 C’était un cas différent, disons plus doux que ceux qui se seraient produits au début du nouveau millénaire. Spal (en Serie B) est ensuite désigné comme l’un des plainte parti de Brindisi pour un prétendu match truquéthéoriquement survenu à l’occasion du Brindisi-Spal 2-2 le 13 avril 1975. Le 11 septembre de la même année, au siège de la Lega Calcio, via Filippetti à Milan, le président comparut pour interrogatoire au procès Paul Mazza, le secrétaire Cesare Morselli (dans le futur directeur sportif de Spal lui-même), le médecin du club Roberto Montagna, les joueurs Franco Pezzato et Angelo Paina, ainsi que l’ancien épaulettes Lucio Mongardi (capitaine à l’occasion du match incriminé, puis transféré à l’Atalanta) et Enzo Vecchiè, qui était de Brindisi mais n’a pas joué ce match. Tout s’est résolu comme l’éclatement d’une bulle de savon, l’infraction présumée n’a pas été découverte en raison du manque de preuves et Mazza a fait appel à la Caf contre l’acquittement pour insuffisance de preuves, demandant l’acquittement complet.

Les garanties Nous sommes à l’été 2003, Spal étant impliqué dans le problème bancaire avec Rome, Naples et Cosenza. Serie C1, le club appartenait à Famille Pagliuso, avec le propriétaire Fabiano qui, depuis quelques mois, était aux prises avec une affaire juridique délicate (acquitté par la suite). La FIGC a précisé que pour obtenir l’inscription au championnat, Rome, Naples et Spal avaient présenté des cautions garanties par la société SBC, dont la position, d’après les contrôles effectués par Covisoc, avait été jugée “régulière et impeccable”. SBC, au contraire, n’avait rien publié du tout. Aussi parce que depuis février dernier, l’entreprise s’était suspendue de toute activité, en raison d’un capital social de seulement 500 mille euros. Mais alors, qui aurait garanti la couverture financière de l’enregistrement des clubs, en se faisant passer pour un représentant du SBC ? Respiration suspendue et tensions diverses ont caractérisé la période suivante, puis tout a culminé début 2005, Spal étant reconnu comme partie lésée.

Été 2005 Juste cette année-là Le Spal de Pagliuso a été exclu non seulement de la série C1, mais du professionnalisme. Les recours parvenus au Conseil d’État ont été inutiles, après les rejets du Covisoc. La seule option viable, dans une véritable course contre la montre, était de recourir à Lodo Petrucci. La disponibilité de l’entrepreneur de Comacchio Gianfranco Tomasi, soutenu par quelques actionnaires minoritaires sensibilisés par la municipalité de Ferrare, a garanti la redémarrage de la série C2rebaptisé “Spal 1907”.

Avec Butelli Après diverses demandes de mise en faillite (la première, par exemple, présentée puis retirée par Asics en septembre 2011) lors du championnat de première division 2011/12, l’entreprise a été pénalisée de 2 points pour non-paiement des salaires et des cotisations des salariés. Les délais ultérieurs entraîneront 8 le total de points de pénalité infligé aux bleu et blanc, ce qui s’avérera plus tard fondamental d’un point de vue sportif. La situation financière précaire de la Spal de Cesare Butelli s’est également reflétée dans le domaine juridique, avec le dépôt de demandes de mise en faillite de la part de certains employés et fournisseurs. L’équipe sur le terrain aurait survécu, mais avec les pénalités, elle s’est retrouvée dans la zone de playout, puis a perdu les barrages pour éviter la relégation avec Pavie.

Le 13 juillet 2012, l’entreprise arrive exclu du championnat 2012/13 pour des problèmes économiques, sans faire appel. Le redémarrage de Véritable Spal De Roberto Benasciutti (inscrit au championnat série D) ne s’est pas révélé des plus heureux et pour voir l’aube nouvelle il aurait fallu attendre le (glorieux) sauvetage de Famille Colombarini. La Spal 1907 a ensuite été radiée de la Fédération de football le 11 septembre 2013 et le 31 mars 2014, le tribunal de Ferrare l’a déclarée en faillite et l’a mise en liquidation, rejetant la demande d’accord présentée par Butelli.

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