70 ans de vers vécus dans la populaire Plaisance

70 ans de vers vécus dans la Piacenza Popolaresca, une initiative proposée par le poète et écrivain Claudio Arzani dans la cour intérieure de la librairie Fahrenheit 451 (via Legnano) le samedi 25 mai à 17h en s’inspirant de la partie du livre “70 des années de rêves, d’illusions, d’espoirs, de poésie » (éditions LIR) qui contient, entre autres, des paroles rappelant Plaisance « au-delà du Mur », c’est-à-dire au-delà des murs Farnèse, le premier faubourg de la ville. En pratique, les souvenirs de la via IV Novembre ou même de la via Dante à partir des années 1950, où, alors que les premières grues apparaissaient et que les chantiers s’ouvraient, prédominaient encore les prairies et les champs où les enfants jouaient aux cow-boys contre les indiens tandis que le soir, Dans des zones encore mal éclairées, garçons et filles ont échangé leur premier baiser.

Années entre les années 50 et 60, années d’une ville encore « petite », dans laquelle les gens allaient travailler à vélo mais commençaient à apparaître les premières Piaggio Vespas qui permettaient des excursions hors de la ville le dimanche vers les villages de nos vallées. La poésie, celle d’Arzani, qui traverse ensuite les années de contestation, de changements culturels, de conquête des droits civiques jusqu’à nos jours gâchés par le retour de la guerre qui, si lointaine soit-elle, implique notre pays. Une situation, affirme le poète, « qui ne laisse pas le choix : avec le pape François, nous devons dire Assez d’envoyer des armes, Assez de génocide. Les armes ne font jamais la paix, seulement la mort et la destruction. » Comme d’habitude, Dalila Ciavattini et Francesco Bonomini contribueront à l’initiative.

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