Pesaro, voici les programmes de Belloni. Mms de bénéfices ? «Ils servent aux crèches et à l’entretien. L’Auditorium Scavolini ? Donnons-le aux équipes B de basket-ball”

Pesaro, voici les programmes de Belloni. Mms de bénéfices ? «Ils servent aux crèches et à l’entretien. L’Auditorium Scavolini ? Donnons-le aux équipes B de basket-ball”
Pesaro, voici les programmes de Belloni. Mms de bénéfices ? «Ils servent aux crèches et à l’entretien. L’Auditorium Scavolini ? Donnons-le aux équipes B de basket-ball”

PESARO – «Trop de sports et d’équipes à Pala Campanara, la gestion logistique est compliquée. Nous amenons les trois équipes de basket de Serie B à l’Auditorium Scavolini. Ils peuvent coexister avec la culture et l’événementiel, nous avons déjà étudié un programme mensuel. Et nous voulons à nouveau révolutionner l’Union des municipalités, la police de la circulation sous Pesaro. » Le conseiller Enzo Belloni et sa liste Una Città in Comune indiquent clairement que lors du prochain mandat, si évidemment la coalition de centre-gauche gagne, la majorité aura tout sauf un rôle de spectateur.

Il l’a fait savoir récemment, en gardant Biancani en haleine jusqu’au bout, avant de rejoindre l’équipe. Et il l’a souligné hier, lors d’une conférence en direct, indiquant les piliers programmatiques à poursuivre et à mettre en œuvre en matière de sport, de sécurité, de verdure et de déchets. Et aussi en paroles, visant à affirmer un poids politique plus important que celui actuel, clairement après avoir donné la parole à l’électorat.

Trois conseillers

«Nous travaillons pour gagner plus de 4000 préférences et élire trois conseillers municipaux. Nous voulons avoir la force au sein de la majorité d’avoir un impact important. On a bien travaillé, on a mis nos visages en avant et on a été opérationnels pour tout le monde. Nous voulons avoir des conditions après le vote qui nous permettent d’affirmer notre pensée et notre volonté.” Nous commençons par le sport, avec un coup de projecteur sur l’Auditorium Scavolini par rapport à la situation actuelle de la Pala Campanara où jouent Italservice, Megabox, Bluvolley, Loreto (hier soir match 2 de la demi-finale contre Matelica), Bramante, Pisaurum. Football à cinq, volley-ball, basket-ball, tout le monde est là. «Dans le pavillon D, les paniers sont parfois déplacés jusqu’à trois fois par jour», explique-t-il. La solution, qui représente en réalité pour la liste Belloni un retour au passé, une tradition à dépoussiérer, est de déplacer les trois équipes de basket de Serie B, toutes à l’Auditorium Scavolini, inauguré le 29 février dernier. Comment faire? «Les palas peuvent être utilisées deux week-ends par mois, de septembre à mai, fournissant ainsi un calendrier à la fédération de basket-ball et la faisant cohabiter avec des événements culturels et d’autres initiatives. Je crois qu’amener le basket-ball aux vieilles palas (Vuelle en Serie A2 continuera à jouer à domicile à la Vitrifrigo Arena, ndlr) peut être un signal important pour tous les sports de Pesaro. Un autre sujet évoqué est celui de l’Union des Communes. «Ce syndicat doit être révolutionné, pour avoir un service différent et meilleur. Nous devons ramener plus d’agents de la circulation à Pesaro en révisant l’accord sur la police municipale, pour garantir des améliorations du point de vue de la sécurité. Les problèmes de programmation ne sont pas terminés. Il y a la combinaison environnementale de l’eau et des déchets. Sur le premier front, « nous devons jeter les bases en commandant une étude pour comprendre quelle est la meilleure manière de résoudre le problème de la crise de l’eau dans notre région. Nous aimerions réfléchir à davantage d’invasions, petites, moyennes ou grandes. »

Les autres thèmes

Puis les déchets : « Décharge oui, décharge non, usine de valorisation énergétique. Quelle que soit la décision qui sera prise, elle sera stratégique pour notre territoire. Mais si nous ne prenons pas de décision concernant les déchets, nous nous retrouverons dans quelques années avec une facture triplée, car sortir les déchets d’une région n’est pas gratuit. Mms de bénéfices ? Ils servent à couvrir les frais de crèches, d’entretien et servent aux dépenses courantes. Je préfère donner cet argent aux citoyens qui ont besoin de services primaires, plutôt que de réduire ma facture de 5 euros.” Le tableau de cet aperçu programmatique est complété par la verdure (“Je voudrais qu’elle revienne sous la gestion municipale”) et les quartiers (“Davantage d’attention aux lieux qui, ces dernières années, ont peut-être été plus négligés que d’autres”).

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