![« Si tu ne me donnes pas les enfants, je te tuerai ». Coups de poing et menaces contre l’ex, mais le procureur n’arrête pas le harceleur](https://fr.italy24.press/temp/resized/medium_2024-05-24-021c6b2f2c.jpg)
Après avoir insulté, menacé et persécuté son ex, il a été traduit en justice par le Velletri Gup pour harcèlement aggravé. La victime de l’affaire était une femme d’Aprilia qui a dû subir un harcèlement obsessionnel sans issue. Un article le rapporte Corriere della Sera. Un homme de 38 ans qui n’a pas accepté la fin de la relation et a commencé à tourmenter la femme a été jugé.
Pour la victime, c’est un chemin croisé d’attaques et d’insultes qui a duré près d’un an, souvent même devant les enfants de l’ex-couple. Jusqu’à la décision de dénoncer l’homme. Dans les papiers des enquêtes menées par le procureur Luisa D’Innella, le langage agressif et menaçant de l’homme émerge. Par exemple : « Tr… infâme, si tu ne me donnes pas les enfants, je te tuerai » ou « Espèce d’infâme f…, qu’est-ce que tu penses de est-ce que tu me fais peur ?
Ensuite, il y a les menaces pour dissuader son ex-compagne de le dénoncer : “Elle va mourir de faim si tu appelles la police”. Je te fais du mal.” Mais malheureusement, il n’y aurait pas que des mots. Selon les accusations du procureur : « Le 16 avril 2023, il l’a tirée et lui a donné des coups de pied au ventre » ; « Le 19 avril 2023, il a frappé à la porte de la maison de manière à provoquer un état d’anxiété grave et persistant ». Ensuite, il y a les coups de pied et même les pierres lancées la nuit contre la maison de l’ex.
Mais en attendant son renvoi en justice, la première audience est prévue le 3 octobre, l’homme n’a pas été frappé d’interdiction d’approche. ni par des arrestations. Bref, aucun code rouge ne s’est déclenché.