«Cette affirmation est absolument fausse. La séance du Conseil municipal s’est ouverte avec une demi-heure de retard par rapport à l’heure de convocation, donc bien au-delà du quart d’heure canonique de tolérance.
Par ailleurs, à 14h30, ayant constaté la participation limitée des conseillers municipaux, j’ai signalé directement au Maire, ponctuellement présent, que la séance du conseil serait ouverte au bout d’une demi-heure.
Après avoir clarifié ce qui précède, je ressens l’obligation institutionnelle de rappeler à ces conseillers municipaux anonymes le respect de la vérité et de la responsabilité, principes qui ne doivent jamais échapper à tous ceux qui représentent les institutions.
C’est une pratique incorrecte, surtout à l’égard des citoyens souverains, de reprocher au président du conseil municipal d’essayer de cacher les échecs des autres.
Il ne m’appartient donc pas d’enquêter ou d’examiner les raisons de l’échec d’un conseil municipal, mais j’ai jugé nécessaire d’émettre cette note de simple clarification, car je ressens l’obligation de préserver l’institution du président de la Conseil municipal, en essayant de le protéger des dynamiques et des logiques politiques dans lesquelles quelqu’un voudrait indignement l’entraîner.