“Université et tourisme forts”. Mechelli montre la voie

“Université et tourisme forts”. Mechelli montre la voie
“Université et tourisme forts”. Mechelli montre la voie

La valorisation de l’Université et la promotion du tourisme international comme piliers de son programme, le « non » à la décharge de Riceci et le fort soutien à l’hôpital comme nécessité obligatoire et un soutien renouvelé et convaincu à Maurizio Gambini.

C’est ainsi qu’Urbino, ville idéale, se présente pour la deuxième fois aux urnes, un mouvement basé sur la coalition « Ville concrète » et né en 2017.

« Malgré tant de concurrence, nous présentons une liste large, composée de 25 personnes avec une représentation très variée, de bonne volonté et convaincues de soutenir Gambini – explique Lino Mechelli, fondateur du groupe et nouveau candidat –. Nous le considérons comme le plus apte à achever l’immense travail entrepris et à qui confier la transition de la ville avec la reconnaissance définitive de capitale provinciale.

A mon avis et selon l’état d’esprit que j’ai recueilli dans la population, il gagnera dès le premier tour. Même s’il y a eu quelques déceptions, notre groupe a résisté, voire s’est renforcé : il a aujourd’hui un rôle central dans la coalition”.

Pour Mechelli, il sera essentiel d’établir une collaboration avec les principales institutions : « De l’Université à la Galerie Nationale des Marches, en passant par l’Isia et l’Académie des Beaux-Arts, jusqu’à la Curie, nous devons avoir une coopération et non une concurrence, toujours dans la garantie d’une autonomie mutuelle.

Il faut désormais prêter une attention particulière à l’Université, notamment compte tenu du développement de la télématique, améliorant également l’accueil des étudiants. Dans le nouveau rôle du capital, nous visons à renforcer le soutien à l’hôpital d’Urbino et cela pourrait aussi être une bonne opportunité pour réfléchir à la réactivation du chemin de fer.

En tant que conseiller municipal, je me suis battu avec acharnement pour éviter le transfert du commissariat en banlieue, dans l’espoir qu’il disposera bientôt d’un emplacement approprié, et concernant Riceci, j’ai déclaré mon opposition à la décharge : je crois que le projet doit être retiré.

Il y a enfin le commerce, dont la situation a changé, comme partout dans le monde, mais qu’il faut redévelopper en utilisant tous les leviers possibles.

Il faudra identifier un lieu de comparaison efficace pour trouver les meilleures solutions, et non quelque chose d’occasionnel.

Et puis il faut insister sur le tourisme, qui doit avoir une valeur internationale. Urbino a le droit et le devoir d’organiser un moteur qui promeuve la ville, la région et peut-être même l’Italie à travers le monde.

Nicolas Petricca

NEXT Après l’attaque de Mondialpol, le gang s’est caché à Sassari La Nuova Sardegna