les premières images de sa mère Nazia Shareem après son arrestation au Pakistan

Les premiers signes concrets arrivent des poursuites judiciaires pakistanaises contre la mère de Saman, le jeune de 18 ans tué à Novellara de Reggio Emilia par sa famille en avril 2021. La mère, le père et l’oncle ont été condamnés par le tribunal italien, le seul encore à l’étranger aujourd’hui est la femme, Nazia Shaeemarrêté ces derniers jours par la police pakistanaise en émettant la “notice rouge”, l’avis de recherche internationale émis par Interpol à la demande des autorités italiennes.

Les premières images après l’arrestation

Une photo publiée par le bureau de presse de la police du district de Gujranwala, au Pendjab, au nord du pays asiatique, puis posté sur la page Facebook de l’émission “Qui l’a vu ?” l’exhibition entièrement vêtue de blanc, recouverte d’un voile, lors du transfert de Gujranwala à la capitale Islamabad, où est basé le tribunal international qui devra décider de son extradition. Nazia Shaeem Il se trouve actuellement dans la prison à sécurité maximale d’Adyala, en attente d’une audience prévue le 12 juin. Ce jour-là débutera l’audience d’extradition, que la justice pakistanaise a déjà accordée en novembre 2022 à son mari. Chabbat Abbas, aujourd’hui détenu en Italie. Les deux époux ont été condamnés à la réclusion à perpétuité en Italie pour meurtre. Dans les motifs rédigés par la Cour d’assises de Reggio Emilia, la forte hypothèse est que c’est la mère elle-même qui a physiquement tué la fille, pour éviter de nouvelles évasions avec son petit ami. et d’autres tentatives d’indépendance par rapport à la volonté familiale. Les images des caméras de la zone agricole de Novella où il se trouvait Le corps de Saman a été retrouvé conduire dans cette direction.

L’attente des décisions sur‘extradition il est très élevé, en Italie comme au Pakistan. C’est ce qu’a rappelé Ahmad Ejaz, un journaliste italo-pakistanais qui vit en Italie depuis des années et qui est un expert de la dynamique de son pays d’origine. L’arrestation d’une femme pour crime d’honneur et surtout la possibilité de son transfert aux autorités judiciaires du pays où le crime a été commis est une excellente nouvelle, un signe d’ouverture de la part d’un Pakistan en quête de reconnaissance internationale. L’histoire pourrait également servir d’exemple pour d’autres événements similaires, dans lesquels les auteurs comptaient souvent sur le retour chez eux pour être protégés de toute tentative d’arrestation. Une pensée probablement cultivée par elle-même Nazia Shaeemretrouvé par la police à Kharian, dans le district de Gujrat, non loin du village natal des Abbs, Charanwala.

Les prochaines étapes restent à comprendre, tout comme la réaction de l’opinion publique pakistanaise et en particulier des partis et mouvements d’inspiration religieuse, qui pourraient ne pas apprécier la reconnaissance deextradition pour une histoire d’honneur et de discipline familiale. Pour l’instant, l’arrestation a bénéficié d’une visibilité considérable dans les journaux de la grande nation asiatique, un autre signe d’intérêt qui amplifiera l’attention.

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