Turin est la province la plus redondante d’Italie, elle fait pire que Tarente et Rome

Turin est la plus grande province fonds de licenciement d’Italie, plus en difficulté que Tarente et Rome. Celui où le travail dans les usines se déroule par à-coups, comme à Mirafiori, où en juin, au retour après un mois d’arrêt, les jours de travail à la Carrozzerie continuent de se compter sur les doigts d’une main. Tout le reste est des contrats de CIG et de solidarité.

Enregistrement négatif

Le nouveau Le bilan négatif de Turin ressort de l’Observatoire Uil Piémont sur le fonds de licenciement. Dans le Piémont, au cours des quatre premiers mois de l’année, les filets sociaux ont augmenté de 49,4%, ce qui équivaut à 16 millions d’heures en espèces. Turin est la grande malade parmi les provinces, avec 10 millions d’heures de Cig, en hausse de 75%. Il y a ça crise automobile. Le ralentissement de la production de la 500 électrique qui, espérons-le, redémarrera avec le plein montant des incitations (déjà épuisées) mises à disposition par le gouvernement. Il existe une chaîne d’approvisionnement en métallurgie qui tire la ceinture.

Filets de sécurité sociale

Dans l’ensemble du Piémont, l’industrie augmente les filets de sécurité sociale de 59,3% et la construction de 22,8%. «Les données sur les demandes d’indemnités de licenciement au cours des quatre premiers mois de l’année mettent en évidence les difficultés du tissu productif et économique de notre région. Turin, en particulier, redevient la province avec le recours accru aux filets de sécurité sociale – déclare Gianni Cortese, secrétaire de l’Uil Piemonte – à la fois pour les nombreuses crises d’entreprises en cours (Lear, Te Connectivity, Del Grosso pour n’en citer que quelques-unes) et, surtout, pour la situation difficile de l’usine Stellantis de Mirafiori. Dans les 18 prochains mois, il est facile d’estimer de longues périodes d’utilisation des filets sociaux, en attendant la production de la nouvelle 500 hybride qui devrait démarrer en 2026. »

Automobile

Selon Cortese « pour le secteur automobile, ainsi que pour d’autres secteurs de production, touchés par des transformations profondes qui nécessitent de nouveaux processus et produits, il est également nécessaire de mettre en œuvre des parcours de mise à jour et de requalification des compétences, accompagnés de changements générationnels, pour offrir sécurité de l’emploi et rendre attractif le territoire de notre région ».

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