élève de septième année à l’école armé d’un couteau

Armes parmi les pupitres d’école. Une phrase qui évoque les panoramas américains où, surtout chez ceux qui sont l’équivalent de nos Supérieurs, désormais chaque institut est équipé de détecteurs de métaux pour empêcher l’entrée d’instruments offensants, même “de feu”. Un grave danger pour la sécurité de très jeunes s’est également produit ces derniers jours dans un collège de la région de Cesena. Dont nous ne donnons aucune autre indication car les événements ne concernent guère plus que des enfants : entre 12 et 13 ans.

Dans cette école, les enseignants ont découvert un élève de 2e année qui s’était présenté parmi les pupitres pour les cours quotidiens armé d’un couteau.

Un objet qui lui a été offert et dont il « se pavanait » en possession à ses camarades de classe. Insouciant, en raison du manque de sensibilité aux dangers typiques de l’âge, même du risque que pourrait devenir le simple fait de le manipuler pendant les heures de récréation ou en tout cas d’entrer en contact, même juste “pour s’amuser”, avec ses camarades de classe.

De toute évidence, les craintes étaient principalement liées au fait que l’intention du très jeune tireur était d’utiliser le couteau comme arme d’attaque contre ses pairs. L’arme a été saisie sur le mineur et remise aux parents à la fin des cours. Avec la recommandation qu’un épisode similaire ne se reproduise plus. L’école, dont les dirigeants ont conclu un accord de “no comment” sur le sujet, a en même temps lancé tous les outils disponibles pour lutter contre ce type d’épisode. De la note, à la présence d’un point d’écoute psychologique pour toute personne qui en a besoin. Contacts avec les services sociaux pour signaler l’incident et vérifier s’il ne s’agit pas de quelque chose qui est apparu dans un contexte familial déjà « pris en charge ». Il n’était pas nécessaire d’impliquer la police. Compte tenu de l’inquiétude des parents concernant l’arme à l’école, les cours organisés également avec les policiers contre le harcèlement et le cyberharcèlement ont été rappelés. Ainsi que des rencontres thématiques en classe avec tous les élèves pour réitérer la dangerosité des armes et la nécessité de toujours servir de médiateur dans tout conflit.

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