Élections 2024 : l’égalité femmes-hommes est un mirage, Florence la plus vertueuse

Élections 2024 : l’égalité femmes-hommes est un mirage, Florence la plus vertueuse
Élections 2024 : l’égalité femmes-hommes est un mirage, Florence la plus vertueuse

Vous connaissez le problème de l’égalité des sexes en politique et dans les établissementscelui qui avec une femme à la tête du gouvernement et l’autre dans le rôle de secrétaire de l’un des plus grands partis du pays aurait pu enfin emprunter la voie du changement ?

Eh bien, prends tout et mets-le de côté. Cela pourrait peut-être être utile dans une conversation future. Certes, cela ne vous aidera pas à commenter les élections locales à l’approche qui, bien entendu, les femmes se présentent à des rôles monocratiques ils l’enregistrent très peu.

Candidates féminines : où en sommes-nous ?

Les 8 et 9 juin prochains, les citoyens de 3711 communes seront appelés aux urnes. Il suffit de regarder les noms des 145 candidats venus des 29 capitales provinciales le vote donne des frissons : les candidates sont 23%, celles de moins de quarante ans ne sont que 2. Pour être plus précis, les les hommes ont 112 ans et les femmes seulement 33 ans. Une triste réalité que nous vous invitons cependant à comprendre et à intérioriser avec un optimisme prudent, sachant qu’en 2023 ce chiffre était d’environ 14 %.

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Capitales masculines, Florence plutôt vertueuse

La situation se complique – et pas peu – si l’on regarde les capitales dans lesquelles courir pour le poste de maire, ce ne sont que des hommes. Il s’agit de Pavie, Cesena, Ascoli, Pescara, Sassari et Bari. Vertueux, cependant, est l’élément central – et évidemment éclairé – Florence dans lequel, sur 10 candidats au siège le plus élevé, 4 sont des femmes: Sara Funaro, ancienne conseillère sociale soutenue par le Parti démocrate, l’Alliance de la gauche verte et +Europa ; Stefania Saccardi, soutenue par Italia Viva ; Cecilia Del Re, ancienne conseillère à l’urbanisme soutenue par la liste civique « Firenze Democratica » ; Francesca Marrazza de « RiBella Firenze ». Les candidats à la mairie de moins de 40 ans, tous deux soutenus par le PD et le Mouvement 5 étoiles, sont Marta Bruschi, 35 ans, candidate à la mairie de Biella, et Vittoria Ferdinandi, 37 ans, candidate à la mairie de Pérouse.

Politique de genre et élections

Maintenant que la situation est claire, vous êtes autorisés à formuler votre opinion sur un énième cycle électoral au cours duquel davantage aurait pu et aurait dû être fait. Commençons par la question la plus évidente : à Florence, capitale d’une région où politiques de genre ces dernières années, ils se sont accélérés également grâce à des actions politiques qui n’ont accordé aucun rabais à personne, les choses vont bien, mais pas très bien. Au moins, on peut se dire prudemment satisfait pour enregistrer le signe plus dans la tendance, mais le voyage est encore long. Dans le reste du pays, la route continue de paraître raide et très cahoteuse.

Se demander pourquoi il y a si peu de femmes candidates à des rôles monocratiques, on prendrait le risque d’ouvrir un chapitre qui, certes, ne trouverait pas place dans l’espace d’un article. Un aspect mérite cependant d’être exploré ici : il est vrai, C’est en partie la faute d’un système ce qui ne permet pas aux femmes de consacrer le même temps que les hommes à la politique, mais le problème est bien plus vaste. Le vrai thème est tout en un culture centrée sur les hommes qui, encore aujourd’hui, a du mal à placer une femme à des postes de direction. Malgré l’histoire, il y a encore peu d’hommes prêts à réfléchir à ce schéma. Dans la plupart des cas, l’architecture culturelle dans laquelle ils ont grandi les oblige à mettez votre virilité au centre (impossible, selon eux, de se soumettre à une femme). Une tromperie de l’esprit qui, depuis des siècles, a tenu en otage le genre féminin et qui, aujourd’hui encore, génère, déguisée, privation et disparité.

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Comment échapper à la culture centrée sur les hommes

Compte tenu de l’évolution des choses ces dernières années, il ne sera pas facile d’en sortir, si l’on considère que, même dans les domaines politiques où le féminismetrès souvent les femmes ont des rôles qui ne sont pas de premier ordre et, lorsque cela arrive, c’est souvent pour suivre les sentiment du moment plutôt que par conviction. À coup sûr, continuer à faire avancer la bataille entre les sexes avec force, courage et détermination c’est le seul moyen, réunissant compétences, capacités, expérience et une bonne dose de ténacité (ce qui dans une politique orientée vers les hommes ne fait jamais de mal). Il faudrait alors un peu plus de solidarité féminine, grâce à laquelle il serait vraiment possible de faire la différence et d’endiguer l’égocentrisme des hommes de service. Le fait est que, comme dans la vie, tous les groupes sociaux féminins ne sont pas prêts au changement et, dans certains cas, elles préfèrent s’asservir à des logiques qui, dans leur intérêt, ont très peu de logique. Un mécanisme d’auto-préservation qui changera tôt ou tard, mais auquel nous devons aujourd’hui faire face.

Un bon signe serait de voter en masse pour deux femmes et un homme lors des prochaines élections européennes, en profitant de la possibilité d’exprimer trois préférences dans une perspective de genre. Une fois de plus, le cours de l’histoire sera confié à la pointe d’un crayon.

PS – En attendant, à Bari, une liste comportant trop de candidates municipales a été exclue. Il s’agit de la formation de Michele Laforgia, l’un des deux candidats de centre-gauche à la mairie qui avait inclus 10 candidats sur 12 dans la liste, ne protégeant pas la représentation masculine. La loi est dure, mais c’est la loi. Qui sait si la même chose serait arrivée avec une femme en tête de liste.

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