115 candidats dans 52 communes. À Monselice, Selvazzano, Cadoneghe et Rubano, il y a un risque de ruissellement

PADOUE – Les élections pour le maire de votre propre capitale sont les plus belles et les plus véridiques. Car en plus de l’affiliation politique et des programmes, il y a…

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PADOUE – C’est élections plus belles et plus véridiques sont celles du maire de sa propre capitale. Car outre l’appartenance et les programmes politiques, on discute maison par maison, carré par carré et les liens sont tout aussi importants que les antipathies.

Eh bien, il est 115 heures. candidats en lice pour les sièges de 52 communes, presque là la moitié des administrations de Padoue. Ils sont soutenus par 145 annonces dans lequel l’armée des candidats aux conseillers compte 1.851 personnes.
317 028 personnes vivent dans ces territoires, soit 34 pour cent de la population. Et il y aura 275 212 électeurs aux urnes (135 903 hommes et 139 309 femmes). Avec une curiosité. Grâce à un décret ratifié en janvier, le nombre de premiers citoyens cherchant une deuxième ou une troisième chance a soudainement augmenté.
Il y a 4 défis dans les communes de plus de quinze mille habitants, avec un possible second tour le dimanche 23 juin entre les deux challengers qui récolteront le plus grand nombre de voix. Toutefois, si au premier tour l’un des candidats obtenait 50 % plus une des voix, il serait proclamé maire au premier tour.
Le scénario le plus invitant est Monselice où la maire de la Ligue du Nord Giorgia Bedin doit affronter, outre l’aile progressiste avec Giannino Scanferla, un adversaire du centre-droit : Forza Italia et Fratelli d’Italia ont en effet donné leur feu vert à la candidature du provincial bleu coordinateur Luca Callegaro, maire sortant d’Arquà Petrarch. Derby à domicile.

Le centre droit également divisé Selvazzano où le maire est élu dix mois après le mandat de commissaire provoqué par la chute de Giovanna Rossi qui réapparaît avec le soutien de la Lega et de l’UDC tandis que Fratelli d’Italia et Forza Italia ont choisi un administrateur expérimenté, Mariano Fuschi.
Le centre-gauche proposera également les candidatures nécessaires : celle de Claudio Piron, une expression du Parti démocrate, et d’Ornella Sabbion pour la zone écologiste. La liste des candidats se termine avec l’avocat Marco Destro, avec une liste civique.
Les autres matchs du double tour sont programmés dans la ceinture urbaine. À Cadoneghe le maire sortant Marco Schiesaro, réduit par le scandale des amendes imposées par les radars puis annulées, cherche un rappel mais cette fois avec le centre-droit compact. Il est opposé à Paola Venturato, ancienne conseillère municipale de Schiavo, aux forces de centre-gauche et aux leaders civiques Giulia De Campo et Enrico Scacco.

À Ils volent Cependant, l’expérience administrative de la secrétaire provinciale du Parti démocrate Sabrina Doni est terminée. Sont donc en lice la conseillère sortante Chiara Buson, la femme d’affaires Francesca Dall’Aglio, qui a quitté prématurément la majorité et le président d’Eurointérim Luigi Sposato, déjà candidat à la mairie de la commune de Padoue, qui a également regroupé tout le centre-droit. des fêtes ici.
La lutte à Camposampiero entre la maire sortante Katia Maccarrone, en quête d’un troisième mandat, et Giovanni Torresin pour le centre-droit est intéressante ; la course à trois de San Giorgio in Bosco où le secrétaire provincial de la Ligue Nicola Pettenuzzo, découragé il y a quelques mois par une partie de sa majorité, tente de reprendre la municipalité : il aura comme adversaires Fabio Zanfardin, soutenu par Fratelli d’Italia, Forza Italia et les autonomistes, et Alberto Scapin pour le centre-gauche.

Les débuts de Santa Caterina d’Este, commune née il y a quelques semaines de la fusion entre Carceri et Vighizzolo d’Este, verront Tiberio Businaro et Claudio Paluan en compétition pour le siège de maire.
Dans un tour électoral caractérisé par une pénurie de candidats dans huit communes – deux dans le Haut, six dans le Bas –, une seule liste est présentée. Alors que la moyenne est de deux listes par commune. Pour être élus en bloc, le maire et les conseillers devront dépasser le seuil de quorum que la loi fixe à 40% plus un des grands électeurs.

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Le Gazzettino

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