Salerne toujours sous le choc de la mort du prof-fan de Granata : “La vie est injuste”

Salerne toujours sous le choc de la mort du prof-fan de Granata : “La vie est injuste”
Salerne toujours sous le choc de la mort du prof-fan de Granata : “La vie est injuste”
Encore un très sérieux deuil les coups Salerne et le éventails de grenades. Hier matin – comme le rapporte également le journal “Les Chroniques” disponible en ligne – soudainement éteint Armando Mainardi bien connu à Curva Sud pour son long militantisme.

Le 47 ans il a été trouvé décédé dans la salle de bain de premier cycle du secondaire Vico di Milanoù il enseignait, et malgré l’intervention des services d’urgence, le personnel de santé n’a pu s’empêcher de confirmer son décès.

Les circonstances exactes du drame restent à élucider, mais il semble que le professeur soit senti mal et est allé aux toilettes, où il a été frappé par une maladie mortelle. L’intervention des pompiers a été nécessaire pour ouvrir la porte des toilettes. La police est intervenue pour clarifier la situation.

C’est un énorme tragédie qui a profondément ébranlé toute la communauté de la torride grenade. De nombreux messages sont arrivés via les réseaux sociaux pour se souvenir de lui : «La vie est injuste. Et tu n’aurais pas dû partir. Bon voyage Armando, mon ami !», «Les discussions dans la piscine d’Arbostella, les premières expositions sur la chemise granata, les sourires et les passions partagées… Une nouvelle qui laisse sans voix. Salut Armando, que la terre soit légère pour toi !», « nune nouvelle qui te brise le cœur… Je veux me souvenir de toi souriant… tvb arme l’ami de ta vie… beaucoup de voyages, beaucoup de rires, beaucoup de repas, beaucoup de tournois, de matchs de football… trente ans d’amitié… tu ne peux pas mourir comme ça», ne sont que quelques-uns des dizaines de messages publié le sociale se souvenir d’Alberto Mainardi.

PREV Négociations, fonctionnaires et plus : la journée de B. Vivarini se rend à Frosinone, catastrophe de Salerne.
NEXT Après l’attaque de Mondialpol, le gang s’est caché à Sassari La Nuova Sardegna