«440 médecins de famille arrivent»

Médecins de famille recherché : prêt à être affecté 440 zones sans blouse blanche dans toutes les ASL de Campanie. Des zones de soins primaires qui paient le prix d’une faible attractivité car ce sont des quartiers défavorisés d’un point de vue socio-économique (comme Scampia et Pianura à Naples) mais aussi difficiles d’accès du fait de leur position géographique (comme les îles du Golfe).

Ainsi les zones intérieures des autres provinces, les Cilento pour Salerne mais aussi les zones montagneuses d’Avellino et Bénévent. Il s’agit ici d’assurer le premier niveau de soins, le plus proche des citoyens et des patients, crucial pour garantir les niveaux d’assistance essentiels et pour assurer les activités de prévention et de traitement (vaccination, dépistage, prescriptions de médicaments, tests de diagnostic, visites et hospitalisations), notamment pour les maladies chroniques. patients et personnes âgées.

Le recrutement, lancé ces derniers mois dans la région Campanie, se termine le 10 juin : immédiatement après la région déclenchera des contrôles sur la légitimité de la demande. L’épée de Damoclès est celle des appels des exclus. Les missions doivent être finalisées d’ici fin juillet pour permettre d’ouvrir les cabinets dans les deux prochains mois et d’affronter l’hiver prochain avec des dizaines de médecins supplémentaires sur le terrain. «Le classement qui sera établi à partir du 11 juin devrait contenir environ un millier de noms – précise-t-il Pina Tommasielli, directeur de Fimmg – mais tous ne sont pas des postes considérés comme valables. Historiquement, au moins 3 sont des collègues qui ont déjà un rôle et un emploi. Le public des candidats éligibles est donc voué à se réduire mais suffisamment pour passer à autre chose.”

Les zones manquantes

En ASL Napoli 1, il y a 74 tâches à attribuer pour autant de zones dont 7 dans la ville de Naples (Chiaia, Possillipo, San Ferdinando), 8 entre Bagnoli et Fuorigrotta, le même nombre à Soccavo-Pianura, 9 dans le district 27 de Vomero. -Arenella, 7 entre Chiaiano, Piscinola et Scampia. Six dans les quartiers Stella et San Carlo all’Arena, 7 à Miano, Secondigliano et San Pietro a Patierno, autant dans les 31, 32 et 33 pour terminer avec 1 position à attribuer pour Capri et Anacapri. 77 autres tâches doivent être assignées sur le territoire peuplé de l’ASL Napoli 2 Nord, parmi lesquelles se distinguent les 8 lacunes de Giugliano qui sont associées aux 8 de Portici pour l’ASL Napoli 3 Sud qui doit en revanche attribuer 85 zones non défendues par rapport à 94 postes vacants dans la vaste province de Salerne, les plus nombreux allant de Nocera Inferiore à Sapri. Enfin, dans l’ASL d’Avellino, il y a 27 zones déficientes à couvrir, 17 dans le Sannio dont 8 à Bénévent.

Les obligations

A Naples pour tous les domaines déficients identifiés il y a une obligation d’ouvrir le studio dans le quartier identifié: une règle fondée il y a quelques années précisément pour éviter un déséquilibre entre les zones centrales déjà couvertes et les zones périphériques. Le même mécanisme sera adopté pour les zones défavorisées de l’intérieur et dans certaines communes au nord et au sud de Naples. «Il y a davantage de médecins intéressés qui ont déposé des candidatures 1000 – prévient Vincenzo Schiavo, président provincial de Naples du Fimmg – la procédure d’attribution sera achevée dans un délai d’environ deux mois. La médecine familiale joue un rôle crucial dans la prise en charge des territoires. » «L’idée selon laquelle la médecine familiale n’effectue pas un filtre adéquat pour éviter un accès inapproprié aux urgences – ajoute Luigi Sparano, secrétaire provincial de Naples du même syndicat – est fausse. Il suffit de regarder les données Agenas qui viennent d’être publiées relatif à 2022 qui montre que le flux de patients aux urgences pour mille habitants en Campanie est parmi les plus faibles d’Italie et le niveau d’inadéquation est également inférieur à la moyenne. Un tableau inattendu, commun également à d’autres régions du Sud qui, pour progresser dans les niveaux d’assistance, devraient donc se concentrer sur l’organisation, intégrer les réponses dans une perspective de réseau et se concentrer sur les nouvelles technologies.

«Le modèle AFT et la proximité et la contiguïté des soins primaires des médecins de famille – souligne-t-il Esclave – c’est évidemment un modèle gagnant.” «Pour de nombreux jeunes collègues de Campanie, l’inclusion de la médecine familiale comme point d’appui de l’assistance territoriale se profile – conclut Sparano – au bénéfice des soins aux citoyens les plus fragiles».

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