Taranto Diabolika revient, Vladimiro Garofalo nous guide vers l’exposition dans les méandres du château aragonais – Photo 1 sur 4

Taranto Diabolika revient, Vladimiro Garofalo nous guide vers l’exposition dans les méandres du château aragonais – Photo 1 sur 4
Taranto Diabolika revient, Vladimiro Garofalo nous guide vers l’exposition dans les méandres du château aragonais – Photo 1 sur 4

L’initiative a été organisée cette année encore par le diaboliko Vladimiro Garofalo, l’épine dorsale du groupe de supporters des Pouilles, avec le patronage de la municipalité de Tarente. Des passionnés et des collectionneurs de toute l’Italie participeront aux 3èmes jours de Taranto Diabolik et ne manqueront pas l’occasion de voir dans un même lieu les œuvres originales des plus grands designers de la revue. Pour cette édition, l’événement proposera une exposition avec la présentation de 120 couvertures originales de Diabolik, parmi les plus représentatives des 304 premières publiées par la maison d’édition Astorina. De plus, une séance de dédicaces avec les auteurs invités Riccardo Nunziati et Antonio Muscatiello est prévue. prévu. Entrée gratuite et gadgets gratuits pour les visiteurs.

Un week-end absolument à ne pas manquer pour les amis diaboliques, l’organisateur de l’événement Vladimiro Garofalo en parle plus en détail.

Vladimiro, comment est née l’idée des Taranto Diabolik Days ?

J’ai toujours été un collectionneur et je participe fréquemment à des dîners sociaux. Lors d’un de ceux-ci, organisé par le fan club de Lorenzo Altariva, dans lequel j’ai pu également rencontrer le légendaire Enzo Facciolo, j’ai réalisé qu’il n’y avait pas d’événement dédié à Diabolik à Naples et j’ai dit aux amis du club présents que j’aimerais d’organiser quelque chose dans ma ville et ils étaient tous très disposés à me suivre dans cette aventure. Le temps nécessaire pour cadrer la période et le lieu et les Taranto Diabolik Days étaient nés. Nous en sommes maintenant à la troisième édition, chaque année l’exposition a un thème, un fil conducteur : la première année elle a eu lieu sur l’histoire de Diabolik, des dessins originaux des années 1963/1964 ont été exposés, pour reconstituer l’histoire de Giussani. les sœurs et pourquoi elles ont inventé la bande dessinée ; Mais l’année dernière, des dessins originaux de tous les dessinateurs de Diabolik ont ​​été exposés.

Quel est le thème de cette troisième édition ?

La troisième édition s’adresse spécifiquement aux artistes et aux pochettes d’albums. Avec le patronage de la Commune de Tarente, l’exposition « Kover Kollection » sera inaugurée le samedi 15 juin à 9h30, avec la participation de la conseillère à la Culture, à l’Événement et aux Politiques de Jeunesse Angelica Lussoso. Dans les salles de la Galerie Municipale du Château Aragonais, seront exposées les 120 couvertures les plus représentatives des 304 premiers numéros, accompagnées de brèves notes de présentation des artistes qui les ont représentés. Les invités d’honneur seront Antonio Muscatiello et Riccardo Nunziati qui seront disponibles pour dédicacer des copies des derniers albums créés au cours des deux jours.

Celles des premières années sont, à mon avis, peut-être les couvertures les plus appréciées des fans, liées à des livres avec des histoires importantes et très appréciées, je pense par exemple à “Two Roses for Eva”, ou “Anguish”, où il apparaît pour la première fois Bettina. Je suis curieux de savoir… lequel est votre préféré ?

Il faut savoir que j’ai lancé une enquête auprès du groupe de fans sur les 120 couvertures qui seront exposées aux Taranto Diabolik Days 3, je les ai divisées en dix votes et au final le livre “Les ombres du passé” a gagné. Lors du vote, j’ai préféré ne pas exposer mes goûts pour ne pas les influencer.

Mais votre préféré ? Maintenant tu peux me le dire…

Mon préféré ne coïncide pas avec celui choisi par le groupe, c’est celui du livre “Le Dernier Refuge”.

Vous souvenez-vous du premier numéro de Diabolik que vous avez lu ?

Je m’en souviens très bien. Il faut savoir que mon père était un lecteur de Diabolik, depuis les premiers livres, malheureusement je ne les ai plus, cependant il lisait le magazine avant de s’endormir et ensuite il les jetait sur l’armoire devant le lit. J’étais enfant à l’époque et il m’était interdit de lire Diabolik, évidemment j’étais très curieux donc je suis monté dans l’armoire et j’ai pris la BD. C’était un coup de foudre. C’était le livre “La Maison de la Peur”, crayons et encres du grand Enzo Facciolo, sujet et scénario des sœurs Giussani.

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