le deuxième masterplan prêt pour le feu vert

Le deuxième plan directeur de la Jeux Méditerranéens il est prêt et sera très probablement examiné par le comité d’organisation le 17 juin. L’appel du président Massimo Ferrarese, qui est également commissaire des Jeux, a été lancé. Le plan directeur est donc prêt, et Ferrarese termine la rédaction du rapport qui l’accompagne.

Il s’agira d’un programme complet de travaux qui s’ajouteront à ceux financés par le premier plan directeur (la rénovation des stades de Tarente et de Lecce et du PalaRicciardi de Tarente) et des travaux à inclure. Ces derniers soit parce qu’ils ont été récupérés (c’est le cas de Francavilla Fontana, dont les installations étaient initialement au programme puis ont été supprimées), soit parce qu’ils étaient neufs (par exemple le centre de tennis Magna Grecia à Tarente). Outre les projets mentionnés, Magna Grecia et Francavilla Fontana, le deuxième plan directeur comprendra également Sava avec une salle de sport et un stade, la couverture du stade Via del Mare, la couverture de l’Iacovone, l’intégration du PalaRicciardi, un skate park, une patinoire. et quatre autres domaines du tennis au Tarente (puisque Magna Grecia peut en accueillir huit et 12 sont nécessaires pour les Jeux).

Et encore, huit gymnases scolaires entre Tarente et Statte (un) et un centre de gymnastique et d’équitation à San Giorgio Ionico.

Concernant les ressources, l’hypothèse fait de plus en plus de bruit que le commissaire engagera toutes les ressources restantes du plafond des 275 millions mis à disposition par le Gouvernement entre 2022 et 2023. Sur les 275, 167 ont déjà été engagés avec le premier plan directeur relatif à 27 travaux , dont il y a, entre autres, 28 millions pour l’Iacovone à Tarente, 11,3 pour Via del Mare à Lecce, 36 900 pour le stade de natation et 14 635 pour le centre nautique, ces deux derniers tous deux à Tarente. Ainsi, après avoir retiré les 167 finalisés des 275 millions, il en reste 108 et cela devrait être la totalité du montant à consacrer au deuxième plan directeur.

Jusqu’à il y a quelques mois, la part supplémentaire pour les travaux et travaux n’aurait pas dû être de 108 millions, car il fallait soustraire environ 30 millions de ce chiffre pour les frais d’organisation des Jeux. Il en resterait donc environ 78 millions. Sauf que l’agrandissement des projets (stades de Tarente et Lecce) et les interventions ultérieures décidées ont révélé que le 78 ne suffirait pas. D’où une première hypothèse : ne mettre que 10 millions sur l’organisation, en considérant que ce ne sont pas des dépenses qu’il faut faire maintenant. Mais nous envisageons désormais d’utiliser la totalité du quota restant. Et l’organisation ? Il sera financé avec ce qui sera obtenu des réductions des enchères des offres pour les différents travaux, ou, étant donné qu’il ne s’agit pas d’une dépense excessive, peut-être une autre intervention sera-t-elle demandée au Gouvernement.

Une fois abordé en commission, le nouveau schéma directeur ira immédiatement au Gouvernement qui devra préparer un deuxième décret de financement. On espère que cette fois le décret arrivera rapidement, sinon le calendrier des travaux, déjà à ses limites (26 mois jusqu’à l’inauguration de l’événement sportif), risque d’être annulé et de compromettre les chantiers et l’exécution des travaux.

En termes de coûts, la couverture du stade de Lecce reste confirmée à 25 millions, tandis que pour Iacovone ce n’est plus les 50 prévus il y a quelques mois mais est passée à 60-62 millions. Puisque l’entreprise publique de planification Sport et Santé livrera dans quelques jours le projet qui sera ensuite soumis à la conférence des services, nous essayons de réduire les coûts, au moins pour rester en dessous de la barre des 60 millions. La toiture et la couverture périmétrique, toutes deux en acier, sont les aspects qui ont fait monter en flèche les dépenses, nous voyons donc s’il est possible d’économiser grâce à différentes solutions. Par exemple, utilisez des pylônes et des tirants au lieu de réaliser un toit en cuvelage. Avec les pylônes et les tirants, les quantités d’acier seraient économisées.

Toutefois, pour le terrain de compétition de sports nautiques, qui se trouvera à Mar Piccolo, en face du parc Cimino, tandis que le centre sera situé dans l’ancienne station torpille de la Marine, une partie des installations de moules sera supprimée pour créer un couloir de 150 mètres de large et 2 kilomètres. long. Toutefois, l’interférence avec la mytiliculture est minime. Le terrain de compétition et le centre nautique seront confiés à la fédération nationale dans le but d’en faire une structure nationale importante.

Enfin, lors du comité du 17 juin, nous devrions également procéder à la nomination des autres responsables de zone qui soutiendront le directeur général Carlo Molfetta. Lors de la réunion du 29 mai, les rôles ont été officialisés pour Giuseppe Di Palo de Naples, ancien rameur (sport), Tania Zurich de Rome (relations internationales) et Cristina Papini de Milan (marketing).

Entre-temps, la structure des commissaires procède à de nouvelles embauches, tant par l’intermédiaire de l’entreprise publique Eutalia que par la procédure de commandement et de détachement.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

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