“Il accueillit Don Calabria en 1951. Une belle aventure de charité commença”

“Il accueillit Don Calabria en 1951. Une belle aventure de charité commença”
“Il accueillit Don Calabria en 1951. Une belle aventure de charité commença”

A l’occasion du 70e anniversaire de la mort de Mgr Ruggero Bovelli, dans la Cathédrale, l’émouvante homélie de Mgr Gian Carlo Perego, archevêque de Ferrare-Comacchio.

“Cari fratelli e sorelle, cari confratelli, cari operatori, allievi ed ex allievi della Città del ragazzo – le sue parole – sono riconoscente alla comunità di Don Calabria, che ha voluto ricordare in questa celebrazione i 70 anni della morte dell’Arcivescovo Ruggero Bovelli , mio amato predecessore, avvenuta il 9 giugno 1954, sepolto in questa Cattedrale, che tra i tanti meriti, ha avuto anche quello di aver accolto nel 1951 nella nostra Arcidiocesi don Giovanni Calabria, oggi santo – anch’egli morto 70 anni fa, nel dicembre 1954 – ei suoi figli per trasformare una residenza del Seminario arcivescovile nella campagna di Aguscello in una ‘Città del ragazzo’, dove al centro fosse posta la cura della crescita scolastica, professionale di tanti ragazzi, orfani, poveri dopo la seconda guerra mondiale. I più giovani non conoscono questo grande Arcivescovo che ha vissuto il suo episcopato segnato da quattro guerre, di cui due mondiali, da un regime politico ventennale, dalla Resistenza per la liberazione d’Italia e, in ultimo, soltanto da un quinquennio nella riconquistata Democrazia italienne. Mgr Bovelli, né à Pantalla, hameau de Todi, en 1875 et ordonné prêtre en 1897, sera archiprêtre de la cathédrale de Todi, chancelier et vicaire général de son diocèse. Nommé évêque de Modigliana par Benoît XV en 1915, à partir de 1924 il occupa également le siège de Faenza. En 1929, il fut promu par Pie homme et femme. Mais dans le serpent, la page biblique nous rappelle aussi que le mal entre dans l’histoire, mais n’aura pas le dessus. A Ferrare, Mgr Bovelli appellera Don Calabria et avec lui commencera une belle aventure de charité, pour vaincre la peur après des années de guerre, pour surmonter la destruction d’une ville, en partie sauvée par l’intervention de l’archevêque sur les troupes alliées, pour laisser hors de

cachant de nombreux enfants et jeunes solitaires et pauvres, qui risquaient de quitter la ville ou de vivre par leur intelligence. Le mal fut ainsi vaincu par le bien grâce à l’action charitable d’un évêque et d’un prêtre qui comprirent la valeur du don et de la consécration envers les plus petits. Comme l’écrivait son successeur, le bien-aimé Mgr Mosconi, Mgr Bovelli était “l’évêque de l’action”.

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