Corigliano-Rossano. Flavio Stasi a fermé la porte aux malversations (par Giovanni Ferrari)

Corigliano-Rossano. Flavio Stasi a fermé la porte aux malversations (par Giovanni Ferrari)
Corigliano-Rossano. Flavio Stasi a fermé la porte aux malversations (par Giovanni Ferrari)

VOEUX AFFECTIONNÉS AU MAIRE FLAVIO STASI

par Giovanni FERRARI

C’est avec un grand, immense plaisir et une sincère admiration que je vous adresse mes vœux les plus chaleureux et les plus sincères pour votre réélection à la mairie de Corigliano/Rossano. Votre engagement constant, votre dévouement et votre passion avec lesquels vous avez dirigé notre communauté au cours des dernières années ont été récompensés, conduisant à des progrès et des améliorations significatifs et votre réélection représente une confirmation bien méritée de la confiance que les citoyens vous accordent.

Au cours de son mandat précédent, il a fait preuve d’une vision claire et d’un leadership fort en relevant courageusement les défis qui se présentaient et en travaillant sans relâche pour le bien commun. Sa capacité à écouter et à répondre aux besoins de notre communauté a été essentielle pour bâtir un avenir meilleur pour nous tous.

Je suis pleinement convaincu qu’avec votre réélection, vous continuerez à guider Corigliano-Rossano vers de nouveaux objectifs, en promouvant le développement durable, le bien-être social et la valorisation de nos ressources culturelles et environnementales. Votre leadership inspirant sera essentiel pour relever les nouveaux défis et saisir les opportunités qui se présenteront dans les années à venir.

Je vous souhaite sincèrement un nouveau mandat plein de succès et de satisfactions, en espérant que votre travail continuera à apporter des bénéfices durables à notre ville bien-aimée. Que votre vision et votre engagement continuent d’unir et de renforcer notre communauté, faisant de Corigliano-Rossano un meilleur endroit où vivre et prospérer. Que chaque action, chaque choix conscient est guidé par une éthique forte et contrôlable : au cœur de Corigliano-Rossano, la moralité se révèle comme un fil mince mais ferme. C’est le lien qui unit qui donne un sens à la vie, qui rend l’humanité capable de croire. Que ce chant de justice et de vérité réveille chaque âme à sa dignité. Parce que la question morale n’est pas seulement une pensée, mais le fondement d’un monde plus sincère. Quand je pense à l’histoire politique honteuse de Corigliano, ma mémoire me ramène à l’inoubliable entretien avec Enrico BERLINGUER sur la question MORALE, publié le 28 juillet 1981 dans « Repubblica » à Eugenio Scalfaro.

Sur le système sale, corrupteur et clientéliste de la Démocratie Chrétienne, malheureusement ma chère ville de Corigliano, a eu ces dernières années la triste histoire d’être administrée par des voleurs, malhonnêtes, corrompus, malhonnêtes, ils ne pensaient qu’à leur affaire, installer des enfants , épouse, petits-enfants, arrière-petits-enfants, amis d’amis, hommes d’affaires et criminels, toutes ces malversations ont entraîné une pollution politique et administrative, aboutissant à des commissariats préfectoraux.

Avec respect et gratitude

Professeur Giovanni FERRARI

Département de Droit Université d’URBINO « CARLO BO »

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