Il a battu une femme après qu’elle ait refusé. « Jeté à terre et coudé »

Il a battu une femme après qu’elle ait refusé. « Jeté à terre et coudé »
Il a battu une femme après qu’elle ait refusé. « Jeté à terre et coudé »

Il l’aurait en premier attaqué et puis il les aurait j’ai sorti le téléphone portable du poche, en le jetant. C’est ce que reproche le parquet de Ferrare à un Ferrarais de 41 ans, qui a été jugé pour crime d’accusation. vol Et violence sexuel au détriment d’un femme transgenre de nationalité roumaine.

Les faits remontent au 25 janvier 2022, lorsque les deux hommes – qui se sont rencontrés depuis quelques jours – ont décidé de se cacher dans un bâtiment abandonné derrière la gare.

Là, selon le système accusatoire, l’homme aurait aimé passer quelques instants dans l’intimité mais, face au refus de la femme, le il essayait d’abord de lui enlever son pantalon de force et puis le il aurait mis la main sur lui, la jeter à terre puis la battre.

Lors de l’audience d’hier (mercredi 12 juin) matin, devant le tribunal du tribunal de Ferrare, répondant aux questions du procureur Stefano Longhi, le présumé victimequi retrace ces moments.

Je pensais qu’il voulait fumer une cigarette ou parler. Pour moi être intime cela signifiait aussi cela”, a expliqué la femme. “Et à la place il a commencé à me caresser – a-t-il poursuivi – et, une fois que tu auras compris ses intentionsje les avais dit non pouquoi il était déjà très tard Et J’ai dû prendre le bus pour pouvoir rentrer chez moi« .

D’après ce qui ressort du récit, l’accusé n’a pas voulu entendre raison : « Il m’a quand même eu a ouvert son pantalon et avait commencé à touchez moi dans les parties intimes. je lui ai dit “non, je ne veux pas” et il était modifié et a commencé à m’attaquer, serrer mes organes génitaux. J’ai essayé de le repousser sans succès, j’ai fini par tomber au sol.”

C’est à ce moment-là qu’a eu lieu l’attaque : « Il m’a eu frapper avec le coudeprise à gifles Et battu au temple. Puis il m’a eu j’ai pris le téléphone et il l’avait pour moi jeté sur binairesen disant “maintenant, baise-moi encore”. Puis il est parti, tandis que moi, après m’être levé, j’étais échappé vers la gare, en criant, en cherchant de l’aide.”

L’homme lui écrivait deux jours plus tard pour lui demander des informations sur la sienne. conditions de santé. Mais la femme ne lui a pas répondu et l’a bloqué, décidant de porter plainte, aidée par les opératrices du Centre de Justice des Femmes, qui la suivaient déjà depuis un certain temps.

Nous retournons en classe 20 novembre.

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