Marsala, du 20 au 24 juin fête de Saint Jean-Baptiste, co-patron de Marsala – LaTr3.it

Marsala, du 20 au 24 juin fête de Saint Jean-Baptiste, co-patron de Marsala – LaTr3.it
Marsala, du 20 au 24 juin fête de Saint Jean-Baptiste, co-patron de Marsala – LaTr3.it

Le programme 2024 des célébrations de San Giovanni Battista, co-patron de Marsala, du 20 au 24 juin a été annoncé. Dans un communiqué de presse, le Père Francesco Fiorino s’adresse aux citoyens de Marsala : « Avec la Madone, Saint Jean-Baptiste est vénéré par nous, Marsala, comme le Saint Patron de notre ville. Il est donc notre protecteur et intercède pour nous, pour nous libérer des maux physiques ou corporels et internes. A l’occasion de la prochaine fête qui lui est consacrée, on aime imaginer qu’il a encore un message à nous communiquer et qu’il le fera en nous envoyant une seconde lettre.
Chers citoyens de Marsala, qui me sont dévoués et célèbrent chaque année le souvenir de ma naissance terrestre, cette année aussi je veux vous écrire une lettre pour vous exhorter à un engagement plus cohérent en faveur de la citoyenneté et de la foi en ces années difficiles et tristes de notre histoire, Vous êtes sûrement unis et unis par un sentiment d’indignation face aux nombreuses guerres qui bouleversent la vie de millions de personnes et créent un climat de peur dans toutes les régions du monde, en raison du risque d’une nouvelle extension de la conflits en cours. Je pense que vous ressentez aussi souvent un sentiment d’impuissance face à des décisions politiques qui dépassent votre capacité d’intervention.
Je voudrais donc vous inviter à ne pas vous lasser de prier pour la paix et de manifester publiquement pour que l’action diplomatique et les négociations entre pays en conflit se renforcent et prennent le relais, éventuellement sous l’égide des institutions internationales. Mais je voudrais aussi vous inviter à faire votre part, toute votre part (qui dépend de vous), pour promouvoir et faire grandir la paix sociale, pour éliminer les nombreuses petites guerres, les nombreuses divisions, les nombreux conflits qui souvent affligent votre coexistence quotidienne. Je veux vous exhorter, cher Marsalesi, à devenir des « artisans de paix » convaincus et déterminés, comme vous le demande souvent le Pape François, dans ce laboratoire particulier que sont vos sphères existentielles :
a) dans vos familles, pour que vos relations familiales soient toujours basées sur l’amour mutuel
attention, gratuité, partage, écoute et dialogue, et ne pas éprouver la tristesse de la solitude, du manque de communication ou de l’abandon ;
b) dans des contextes de parenté, pour que les relations interfamiliales soient caractérisées par la proximité, une solidarité ouverte, des attitudes constructives et qu’on s’efforce de ne pas laisser prévaloir les logiques d’intérêt
ou de prévarication;
c) dans les milieux de travail, promouvoir et affirmer l’esprit de collaboration et de saine compétition, la dignité et la juste rémunération des travailleurs, et empêcher que des logiques et des pratiques d’exploitation ou de carriérisme sans scrupules s’installent et se consolident ;
d) dans les relations sociales, aujourd’hui souvent caractérisées par l’indifférence, la méfiance, l’agression verbale et physique généralisée, construire des tissus relationnels basés sur le respect d’autrui, sur la confiance, sur des attitudes et des comportements de solidarité, pas seulement économiques, car personne ne peut le faire. se sauver.
J’ai voulu le souligner dans la lettre de cette année, sans toutefois négliger l’engagement auquel je vous ai déjà exhorté l’année dernière et qui n’est pas moins urgent : l’engagement à prendre soin de notre planète, de la « maison commune » de la famille humaine ; c’est aussi un engagement en faveur de la paix, visant à terme à retrouver l’harmonie entre l’activité humaine et la création.
Au-delà des solutions étudiées par les gouvernements et les conférences internationales, qui avancent jusqu’à présent très lentement, vous, citoyens, pouvez faire beaucoup en adoptant des modes de vie plus sobres, plus essentiels, soucieux d’éviter le « péché » du gaspillage, sur le plan personnel et familial. . et communautaire (gaspillage de nourriture, d’eau, d’énergie, de technologie, etc.) et ne pas se laisser aller à la logique consumériste des produits jetables ».
Il serait important que vous vous consacriez également au soin, dans votre ville-territoire, des environnements et des espaces d’usage public, pour les rendre plus rangés et plus propres, plus accueillants, plus réactifs au besoin commun de beauté. C’est aussi une manière de louer et de remercier le Créateur.

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