Affrontements après Ascoli-Pisa, Daspo, 8 ans, contre deux supporters. Les deux autres personnes arrêtées se sont vu interdire d’assister à des événements sportifs pendant 3 ans.

Affrontements après Ascoli-Pisa, Daspo, 8 ans, contre deux supporters. Les deux autres personnes arrêtées se sont vu interdire d’assister à des événements sportifs pendant 3 ans.
Affrontements après Ascoli-Pisa, Daspo, 8 ans, contre deux supporters. Les deux autres personnes arrêtées se sont vu interdire d’assister à des événements sportifs pendant 3 ans.

ASCOLI Huit ans de sanction chacun pour deux des quatre supporters d’Ascoli arrêtés à la suite des affrontements survenus devant le stade Del Duca le 10 mai dernier, à l’issue du match entre Ascoli et Pise qui a sanctionné la relégation des Bianconeri en Serie C. Les deux autres se sont en revanche vu interdire d’assister à des manifestations sportives pendant trois ans.

Une main lourde donc de la part du commissaire de police surtout envers les deux qui avaient déjà bénéficié d’une disposition similaire dans le passé et qui, après avoir été arrêtés, sont désormais assignés à résidence : il s’agit du jeune de vingt-neuf ans pour dont le daspo aurait expiré seulement deux jours plus tard et de l’homme de trente-cinq ans qui purgeait déjà une peine de cinq ans. Pour eux, la juge d’instruction du tribunal d’Ascoli, Annalisa Giusti, a également ordonné, toujours à la demande du commissaire de police Giuseppe Simonelli, l’obligation de signer dans les bureaux de la préfecture de police pendant cinq ans, une demi-heure après le début de l’enquête. correspondre . Les deux autres arrêtés et qui ont été soumis à la mesure conservatoire de résidence obligatoire, ne pourront pas assister aux matchs de football pendant les trois prochaines années.

L’avocat

«Il s’agit d’une disposition que nous considérons excessive par rapport aux faits contestés – dit l’avocat Umberto Gramenzi qui défend deux des quatre supporters arrêtés en flagrant délit moins de 48 heures après les événements -. Pour cette raison, nous évaluons s’il convient de contester cette disposition dans les forums appropriés.”

Les accusations

Ils sont tous accusés d’avoir commis des actes de violence avec résistance à un agent public puisque les personnes arrêtées ont été identifiées et identifiées par les images acquises par les caméras de vidéosurveillance présentes à l’extérieur du stade Del Duca et qui ont filmé les affrontements : une heure et une moitié de guérilla urbaine au cours de laquelle un millier de personnes, à la fin de la course, se sont rassemblées devant les portes de la zone de pré-filtrage, près de la tribune centrale, puis ont affronté les forces de police déployées. Les supporters ont enfoncé les portes pour tenter de briser les chaînes et d’accéder aux installations sportives. Commence alors un lourd jet de torches, de boulons, de jardinières, de barrières, de vélos sur les policiers qui, pour tenter de disperser les fauteurs de troubles, ont dû recourir à des jets de gaz lacrymogènes et à quelques charges éclair. A la fin des affrontements, 16 policiers ont été blessés et ont dû se faire soigner par les médecins des urgences. Les dégâts étaient également importants. Pour ces faits, des enquêtes sont toujours en cours pour tenter d’identifier d’autres supporters ayant participé aux affrontements.

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