Avellino, PD contre la candidate à la mairie Laura Nargi : « Clarifiez votre position »

Avellino, PD contre la candidate à la mairie Laura Nargi : « Clarifiez votre position »
Avellino, PD contre la candidate à la mairie Laura Nargi : « Clarifiez votre position »

première semaine de campagne électorale pour le second tour se poursuit avec des va-et-vient entre les deux équipes parvenues au barrage final, avec des files d’empoisonnement et des accusations liées notamment aux affaires judiciaires qui concernaient l’ancien maire d’une part, Gianluca Festaet une partie de son administration, d’autre part Alto Calore et la municipalité de Monteforte Irpino dirigée par des représentants du Parti démocrate.

En attendant le possible Affrontement public à l’américaine entre les deux aspirants mairesAntonio Gengaro et Laura Nargi, la polémique entre l’ancienne adjointe au maire et son ancien parti, le Parti démocrate, occupe le devant de la scène.

Nargi répond notamment au groupe conseil démocrate sortant : «Le Parti démocrate des désastres administratifs qui ont caractérisé négativement les vingt dernières années de l’histoire de notre province est tout simplement incapable de parler de politique et de gestion administrative correcte. Conscient de ses échecs, il continue de détourner le débat sur le terrain imprévoyant de la justice hypocrite. J’avais espéré avoir déjà précisé au cours des innombrables interviews données au sujet des enquêtes concernant la municipalité d’Avellino et après la dernière et désagréable invective que m’a adressée le candidat de centre-gauche à la mairie, Antonio Gengaro, que les procès sont menés dans les salles d’audience et que nous sommes profondément respectueux des enquêtes que le pouvoir judiciaire mène légitimement.

“Étant donné ce qui précède, estimant qu’il est de notre devoir de parler aux citoyens des problèmes et des propositions concernant Avellino de l’avenir précisément en ce qui concerne le thème de la bonne gestion des affaires publiques, j’ai cité les exemples négatifs représentés par les 200 millions de dettes contractées par le parti Alto Calore, dirigé par le Pd, par le désastre d’Asidep encore enregistré sous la direction démocrate et par la dissolution de la municipalité en raison de l’infiltration mafieuse de Monteforte, également dirigée par un maire du Parti démocrate. Mais le refrain habituel commença. Ne pouvant réfuter ces exemples concrets de mauvaise gestion, le groupe PD, non précisé, a une nouvelle fois soulevé une question judiciaire. Inhérent, cette fois, à la Chaleur Élevée. Mais il a ainsi créé deux chefs-d’œuvre d’un seul coup : d’une part, il nous a donné raison en confirmant l’obsession des enquêtes et le vide de la proposition politique; en revanche, il a oublié ce que nous avions omis, par garantie et par courtoisie institutionnelle, dans la déclaration précédente. Autrement dit, cette enquête concerne aussi et surtout l’ancien président d’Alto Calore, membre du Parti démocrate.”

L’ancien adjoint au maire, également atteint par des informations en garantie dans le cadre de l’enquête qui a assigné à résidence l’ancien maire, accuse les représentants du parti démocrate d’avoir peu de culture de garantie : « C’est dans les étapes finales que les ineffables conseillers démocrates ont donné le meilleur d’eux-mêmes. Allant jusqu’à affirmer que «les habitants d’Avellino ne peuvent s’intéresser à rien de la vérité procédurale. Une déclaration aussi grave que lunaire qui résume le mieux le degré de myopie et d’envie auquel certains sont parvenus, mais surtout l’absence totale d’une culture de garantie et même du moindre respect de l’importance sociale du travail des juges. Les habitants d’Avellino ne méritent pas une telle barbarie. Mais encore une fois, ce seront eux qui jugeront. »

Un affrontement voué à se poursuivre en ces termes. Les mêmes membres du Parti Démocrate au Palazzo di Città avaient demandé à l’ancien maire adjoint d’exprimer son opinion sur ce qui, selon les hypothèses judiciaires, s’était produit, en particulier sur la scène, immortalisée par les caméras des enquêteurs, de l’ancien maire démantelant et emportant le L’ordinateur de la municipalité, pour clarifier ce qu’il pense, en tant qu’ancien conseiller du personnel, sur les concours que le Parquet qualifie de truqués et sur la non-publication des résolutions et des décisions au tableau d’affichage prétorien pendant au moins deux ans. Mais surtout, on lui avait demandé de dire dès maintenant si, en cas de procès, et en cas de victoire aux élections, elle s’était engagée à constituer la Commune comme partie civile contre les accusés. . Des questions et des réponses possibles qui, gageons, reviendront certainement dans les prochains jours.

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