Euro 2024, Ezio Rossi entraîneur de la Hongrie : «Je gagne aussi pour Pozzuoli»

Marco Rossi a bravé les secousses du bradyséisme et les essaims sismiques et n’a jamais quitté Pouzzoles. Imaginez ce que la peur peut être pour lui. “Pas…

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Marco Rossi il a bravé les chocs du bradyséisme, les essaims sismiques et n’a jamais bougé de Pouzzoles. Imaginez ce que la peur peut être pour lui. “Ce n’est pas un groupe facile, mais à part le match contre l’Allemagne en tant que pays hôte, je pense que nous pouvons le jouer avec tout le monde sur un pied d’égalité”. Il est sélectionneur de la Hongrie depuis 2018. Et depuis, l’équipe nationale hongroise est revenue sur le devant du football européen. L’entraîneur turinois mais adopté par le Campi Flegrei en est à sa deuxième phase finale. Un des quatre mousquetaires italiens (hormis Spalletti) avec Tedesco (entraîneur belge), Montella (Turquie) et évidemment Calzona (Slovaquie). «Nous sommes tous vraiment heureux. Nous savons que nous sommes dans un groupe difficile mais nous n’avons pas peur des défis, nous avons confiance et nous savons que nous avons une chance de gagner contre n’importe quel adversaire.” Dès aujourd’hui depuis la Suisse (15h). A Budapest, on n’a pas hésité à lui accorder la citoyenneté hongroise honoraire : il vit entre Pozzuoli et le centre fédéral de l’équipe nationale, dévorant ses journées à voyager à travers l’Europe pour voir ses joueurs jouer partout. D’un point de vue tactique, sa Hongrie ressemble au Bayer Leverkusen de Xabi Alonso. Szoboszlai et Kerkez sont ses stars : « L’Écosse et la Suisse sont, dans un certain sens, plus à notre niveau. Je ne veux pas trop en dire sur l’Allemagne, même si je ne pense pas qu’elle parviendra à marquer neuf points. Contre l’Écosse et la Suisse, beaucoup dépendra de notre position dans ces matches. Mais avec nos caractéristiques individuelles, nous avons de bonnes chances contre ces deux équipes. » Il n’a pas encore eu la fantaisie d’être appelé par un club italien depuis qu’il a « émigré » en Hongrie. A 59 ans, son désir est également passé, étant donné qu’après six saisons il a trouvé la bonne taille : il a le contrat jusqu’à la Coupe du monde américaine et il est très peu probable qu’il succombe à la tentation d’un départ anticipé. En revanche, il est tellement estimé qu’on a du mal à croire que son avenir soit lié au passage en huitièmes de finale de cet Euro24. Et les autres? Dans deux jours, il y aura la Belgique contre la Slovaquie, ou plutôt le match entre les deux garçons calabrais, Tedesco et Calzona. Le premier est né à Rossano, l’autre à Cessaniti dans la province de Vibo Valentia. Ciccio avec la Slovaquie et avec Hamsik comme nounou cherche la rédemption après l’incroyable échec à la tête de Naples où il n’a même pas réussi à gagner une place en Conference League : l’équipe nationale slovaque est désormais sa couverture Linus. Le groupe n’est pas à toute épreuve, outre la Belgique (premier match dans deux jours), il y a l’Ukraine et la Roumanie : évidemment, se qualifier serait un rêve.

Enfin une autre cloche : Vincenzo Montella du Château de Cisterna. L’ancien avion est entraîneur de la Turquie depuis novembre 2023, au plus fort de la tempête : il a été critiqué pour avoir exclu de l’équipe Aydin (Alanyaspor) et Uzun (Nuremberg), qui ont marqué à eux deux un total de 32 buts. «Mais, vous verrez, nous ferons un grand Championnat d’Europe».

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