Vérone, les constructeurs (de Bolzano) à l’attaque du lac de Garde : résidences, villas et hôtels

Les rives du lac Garde pris d’assaut par subdivisions des bâtiments qui surgissent de jour en jour et presque toujours Entreprises du Tyrol du Sud. Entreprises de bâtiments les biens immobiliers qu’ils construisent hôtel-resort luxe avec d’immenses colonies et bâtiments Résidentiel avec villas attenantes de valeur millionnaire. Lazise est l’une des communes avec une forte présence de ces nouveaux bâtiments. En particulier, c’est la fraction de Pacengo où se trouvent les bâtiments du groupe Prohome Srl, de Bolzano, au capital social de 10 mille euros et un chiffre d’affaires annuel de quelques milliers d’euros.
«À Pacengo, dans des zones de valeur paysagère particulière qui devraient être valorisées en fonction de leur nature, les administrations précédentes n’ont pas réussi à gérer un développement immobilier équilibrédonnant lieu à une occupation frénétique de tous les espaces, notamment de la zone du lac”, explique-t-il Marco Zanoniconseiller minoritaire soutenu par le groupe associatif «Lazise Civica».

Trois entreprises sur une bande de terrain d’un demi-kilomètre

C’est à ce domaine que tu fais référence Langue De Terre qui s’étend depuis la route de Gardesana sur environ un demi-kilomètre, sur une largeur de cent mètres, jusqu’au bord du lac. Des bâtiments y sont construits 43 mille mètres carrés, qui s’est scindée en trois sociétés de propriété différentes. La première, dans la zone plus en retrait du lac, à proximité de la route régionale de Gardesana, est prévue pour être une zone commerciale gérée par le «Pacengo Immobilier», l’ancienne Cooperativa Azzurra, (qui a également construit le maxi hôtel de luxe extra « Cap des Sens » à Le Sorte à Albisano di Torri del Benàco). La descente vers le lac entre cependant en jeu Prohome, avec un plan d’urbanisme approuvé pour 11 immeubles d’habitation et villas, pour un volume de 11 550 mètres cubes ; parmi ceux-ci, 3 bâtiments ont déjà été construits mais sont saisis depuis deux ans par la justice. Vient ensuite la troisième zone, proche du lac, où est également prévue la construction d’un maxi hôtel, d’un volume de près de 14 500 mètres cubes, construit par Andreus Golfhotel srl, une entreprise d’une célèbre famille d’hôteliers du Tyrol du Sud, qui a déjà construit un autre hôtel 5 étoiles, leQuellenhof Luxury Resort Lazise ; cette entreprise a également déjà acheté la zone de plus de six hectares encore verte, qui s’étend de la Gardesana jusqu’au lac, à côté de la zone hôtelière, où l’on dit qu’un terrain de golf ou un camping pourrait être construit.

Les autres oeuvres

Le autorisations la planification du plan «Pacengo Alta-Pacengo Porto» prévoyait quelques travaux de compensationde la valeur de 1 million 270 milliers d’euros (des parkings, une place, un rond-point sur Gardesana et d’autres travaux publics), qui sont cependant tous restés sous la seule responsabilité de Pacengo Immobilierqui est maintenant dans liquidation. Et désormais, les panneaux publicitaires géants de vente immobilière, encore sur papier, positionnés par Prohome, sont visibles à plusieurs endroits. À LaziséPar ailleurs, les travaux sont également sur le point de démarrer sur le «La Madone», au bord de la route Gardesana, à l’entrée de la ville ; un autre lotissement est prévu dans la localité Bosca, entre Pacengo et Lazise; un autre encore a déjà positionné les bulldozers qui ont commencé à creuser le long de la plage Piscine Pioppi à Peschiera del Garda: un maxi lotissement de villas et appartements avec piscine à 10 mètres du lac y est également prévu, dans une sorte de continuité territoriale Lazise-Pacengo-Peschiera.

La villa du père fondateur

A Pacengo, petit hameau de seulement 700 habitants, on trouve également Villa Alberti, palais historique du XVIIIe siècle, ancienne demeure du sénateur Antonio Alberti, père fondateur et vice-président du Sénat. A sa mort en 1956, la villa passa à deux fillesqui habitent dans d’autres villes et qui ont déjà vendu leurs immeubles à Prohome écuries des chevaux ainsi que l’allée de cyprès qui menait autrefois au lac où se dresse encore la “flèche”, sur laquelle s’applique la restriction paysagère. Le groupe Zanoni présentera prochainement une motion au Conseil pour demander à la Municipalité de promouvoir leacquisition publique de la villaafin de créer un musée du Constitution. «Notre intention – disent-ils – est de valoriser et de sauvegarder nos villas vénitiennes, qui, elles aussi, sont classées monuments historiques par la Surintendance, ont fini par faire l’objet d’une attention spéculative et sur lesquelles, inversement, il serait important d’établir un rapport culturel projet de relance, pour lequel l’administration municipale doit être un promoteur et un protagoniste également au bénéfice des habitants”.

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