Salerne comme Venise : pas de nourriture pour les pigeons, les règles du plan de police urbaine

Feux d’artifice nuisibles la nuit. Il existe une restriction sur les règlements de la police urbaine. Surtout en été, les habitants de la région font d’innombrables rapports…

Déjà abonné ? Connectez-vous ici!

  • tous les articles du site, également depuis l’application
  • Informations et newsletters exclusif
  • LE podcasts de nos signatures

– ou –

Souscrivez à l’abonnement en payant avec Google

S’abonner

OFFRE SPÉCIALE

OFFRE SPÉCIALE

MENSUEL

4,99 €

1 € PAR MOIS
Pendant 3 mois

CHOISISSEZ MAINTENANT

Alors seulement 49,99 € au lieu de 79,99€/an

Abonnez-vous avec Google

Feux d’artifice nuisibles la nuit. Il y a le durcissement des règles de police urbaine. Surtout en été, on ne compte plus les témoignages d’habitants de la capitale exaspérés par l’explosion des feux d’artifice même après minuit. Beaucoup demandent son interdiction. Une mauvaise habitude qui s’est répandue depuis un certain temps déjà, pas seulement à Salerne et qui voit toutes sortes de célébrations se terminer par l’explosion d’incendies. Agréable à la vue des personnes présentes mais gênant pour ceux qui habitent aux alentours et surtout pour ceux qui se retrouvent plongés dans un sommeil profond. Les incendies, en particulier ceux qui explosent la nuit, réveillent ceux qui vivent à proximité du sommeil, dans certains cas, les faisant littéralement sursauter de peur. Ainsi, le prochain règlement de police urbaine, qui est arrivé au terme d’un long processus d’analyses approfondies et de révisions au cours des commissions communales, s’apprête à définir et réglementer également cette habitude qui rend les Salernes impatients en quête de sommeil. L’article 5, paragraphe 2, lettre “l” du projet de règlement précise expressément qu’il est “interdit” d’allumer et de faire exploser des feux d’artifice dans la ville. «Il est interdit de faire exploser des feux d’artifice dans les lieux publics ou les lieux ouverts au public ou destinés à l’usage du public, sauf dans les cas et limites prévus par des autorisations particulières», peut-on lire au paragraphe de l’article 5 du projet. Par ailleurs, il est interdit « d’allumer des feux sur la voie publique ou de jeter des objets allumés dans l’espace public et les lieux de passage public ». Un problème, celui des feux d’artifice nocturnes, qui s’accentue pendant ces mois d’été, où les fêtes sont plus fréquentes et où les gens dorment parfois avec les fenêtres ouvertes en raison de la grande chaleur.

LA CURIOSITÉ

Mais il n’y a pas seulement une interdiction de faire exploser des feux d’artifice. L’article 5 précise que «dans les lieux publics ou ouverts au public, il est fait interdiction à quiconque d’adopter des comportements susceptibles de mettre en danger la sécurité des personnes, leurs activités ou leur libre et paisible circulation, de troubler l’ordre public et/ou de provoquer du harcèlement ou des nuisances». De plus, « pour sauvegarder la sécurité et le décorum de la ville, il est interdit : de placer, d’apposer ou d’accrocher quoi que ce soit sur le domaine public et, sauf autorisation, sur le domaine d’autrui ; jouer à des jeux, à des compétitions de toute nature, sur la voie publique ou sur les voies ouvertes au transport en commun, y compris les trottoirs et les portiques, lorsqu’ils peuvent causer une gêne ou du dérangement, constituer un danger pour soi ou pour autrui, causer des dommages aux personnes ou aux choses ; jeter ou placer des tracts ou similaires sur les véhicules stationnés sur le domaine public ; déplacer, altérer, casser ou salir des contenants à déchets ; faire du camping ou séjourner dans des tentes, des véhicules, des cabanes ou des abris de fortune ». Une autre interdiction exprimée par l’article 5 est celle relative aux bivouacs, souvent également enregistrés au centre. Place Saint-François. «Il est interdit – lit-on – d’effectuer des rassemblements et/ou des bivouacs sur le domaine public, avec abandon éventuel de résidus et/ou de contenants alimentaires. La Police Municipale peut expulser les contrevenants, sans préjudice de la possibilité de saisir les véhicules et le matériel utilisé, conformément à l’article”.

Soyez également attentif aux comportements pouvant violer l’hygiène de la ville, comme « jeter tout type de nourriture sur les oiseaux sauvages et notamment sur les pigeons (columbia livia domestica) présents à l’état sauvage sur le territoire communal ; abandonner les aliments destinés aux animaux, si cela n’est pas permis par le règlement municipal sur la protection des animaux; laisser les animaux s’abreuver directement au distributeur des fontaines publiques”.

© TOUS DROITS RÉSERVÉS

Lire l’article complet sur
Le matin

X

PREV La valorisation du dialecte “Non solo mizzica” se déroule à travers une pièce de théâtre à l’école primaire d’Adrano, près de Catane
NEXT “Je veux être l’homme du sud de l’Italie à Bruxelles. Allons voter et nous y arriverons”