Le G7, la grande voie vers la politique du pape

16 juin 2024, 07h10

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La réflexion sur la centralité du politique face aux enjeux globaux de notre époque, qui Pape François a-t-il déclaré dans la dernière partie de son extraordinaire discours au G7, c’est une chose qui fera trembler les veines des poignets de quiconque exerce un engagement politique, quelle que soit sa forme ou son niveau de responsabilité.

L’avertissement du pape

Personnellement Je sens à la fois l’insuffisance totale et l’attirance tenace vers la voie idéale si clairement tracée par le Papequi a voulu rappeler que « face à tant de petites formes de politique visant des intérêts immédiats… la grandeur politique se manifeste lorsque, dans les moments difficiles, on agit sur la base de grands principes et en pensant au long terme ». bien commun”.

La tâche de la politique

La politique qui renonce à ce répit meurt parce qu’elle ne remplit pas son rôle, non seulement dans le contexte international mais aussi dans le contexte national et local, se réduisant à un simple exercice de pouvoir au caractère humainement corrosif.

C’est précisément mon histoire personnelle, pleine de nombreuses erreurs ainsi qu’une passion sincère pour le service en faveur du bien commun qui n’a jamais failli, pas même entre les murs de la prison, qui m’encourage à partager ces sentimentsen particulier avec les nombreux jeunes et femmes de la nouvelle Démocratie Chrétienne qui matérialisent aujourd’hui sa proposition politique dans la société et les institutions.

Les mots de De Gasperi

« Un homme politique pense aux prochaines élections, un homme d’État aux prochaines générations »a déclaré De Gasperi.
Un programme apparemment difficile pour une politique qui semble souvent ne pouvoir vivre que sous la bannière d’un pragmatisme global. Pourtant, c’est une perspective qui est aujourd’hui plus que jamais nécessaire pour relever les nombreux défis éthiques, sociaux et économiques auxquels nous sommes confrontés à tous les niveaux.

Sinon le risque serait de rendre irrémédiable la fracture déjà amorcée entre la dimension participative et populaire de la démocratie et le fonctionnement des institutions elles-mêmes.signalé avec une clarté alarmante par le seuil croissant d’abstentionnisme qui, depuis des années, caractérise chaque consultation électorale.

Enfin, je pense qu’il est nécessaire d’exprimer une gratitude reconnaissante à notre Premier ministre Giorgia Meloni pour la prévoyance politique audacieuse mise en œuvre pour rendre possible la participation du pape François au G7.

Publié le

16 juin 2024, 07h10

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