«Maintenant, une présence stable des opérateurs ASL dans la zone des parterres de Ginzburg»

Pour tenter de ramener la tranquillité dans leParterre de fleurs de Ginzburgla présence du Opérateurs ASL engagé à lutter contre le phénomène des addictions. Il s’agit de la première mesure mise en œuvre par la Municipalité pour résoudre le problème, avant tout social, de l’épidémie de drogues dures qui a transformé ce coin de San Salvario sur la «place du crack».
Ceci est annoncé Jacopo Rosatelli, le conseiller pour les politiques sociales lors d’une récente visite à via Morgari. «La présence active et consciente des citoyens, comme elle est apparue ces derniers jours, est fondamentale – explique Rosatelli -. Cela dit, avec l’Autorité Sanitaire Locale et le département dédié, nous planifions comment revoir l’intervention sanitaire dans la zone. Conscient, cependant, que tout ce qui est fait ne doit pas être considéré comme une alternative à une action répressive contre le phénomène du trafic de drogue qui suscite l’inquiétude sociale”.

Devant Maison de quartier, l’inquiétude reste forte. Le directeur Roberto Arnaudo il compte poursuivre son action de dérangement des pousseurs en continuant à placer son bureau sous les arbres. Les quatre attaques qu’il a subies ne l’ont pas intimidé. Dans ses derniers jours, il n’est plus seul. Collègues, amis et résidents sont arrivés aux côtés du directeur du centre culturel. Le dimanche a eu lieu une fête, basée sur la musique et les jeux de société, qui a montré comment ce petit jardin peut vivre un après-midi différent de celui d’habitude. Il reste cependant beaucoup de choses à faire. Compte tenu de la complexité de la situation. La conseillère Rosatelli en est consciente. «J’ai le sentiment que la propagation du crack contribue à modifier considérablement l’équilibre qui a toujours existé dans ce quartier, comme dans d’autres quartiers de la ville. L’entrée massive de cette substance a modifié le comportement et les relations des consommateurs. » C’est dans ce coin de San Salvario qu’ils l’ont découvert de première main. Au cours des derniers mois, les petits vols et les agressions se sont multipliés. Comme la souffrance des dizaines de toxicomanes qui fréquentent le jardin.

«Nous avons eu récemment une réunion avec les responsables du département des dépendances de l’ASL, précisément pour comprendre comment intervenir dans la zone – annonce l’édile -. Il a été décidé d’intensifier le passage des agents de santé et d’imaginer une présence stable dans la zone. Chaque choix doit être réfléchi et mis en œuvre progressivement, également pour éviter de provoquer des effets négatifs. » Parallèlement à l’intervention de « street walking », où le personnel s’engage de manière cyclique pour tenter de mettre en contact les personnes en difficulté dans les lieux de consommation de drogues, l’accord entre la Commune et l’Autorité Sanitaire Locale envisage d’évoluer vers une présence fixe quelques jours par semaine autour de la Maison de Quartier. Il reste encore une hypothèse d’amener le camping-car du service Can Go via Morgari (ou à proximité de la gare) pour éviter de créer une concentration de toxicomanes dans la zone et de laisser d’autres quartiers découverts. Mais bientôt à San Salvario se renforcera l’action de « réduction des risques » qui implique l’offre de matériel propre pour la prise de drogues (comme des seringues) et diverses formes de conseil pour essayer d’offrir une première écoute à ceux qui veulent changer de vie. Offrir du matériel d’information sur les cliniques et les dortoirs dédiés.

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