les vacances arrivent et les listes d’attente s’allongent, il y a un risque de recul dans le temps de récupération

les vacances arrivent et les listes d’attente s’allongent, il y a un risque de recul dans le temps de récupération
les vacances arrivent et les listes d’attente s’allongent, il y a un risque de recul dans le temps de récupération

Si c’est vrai, comme l’a expliqué le conseiller régional Riccardo Riccardi, dans le trou noir des délais d’attente qui domine le système de santé régional, les traitements mis en place par le conseiller commencent à faire effet (pour l’amour de Dieu, nous sommes à l’aube de une solution, certainement pas à la fin de l’urgence), il est également vrai que l’été est désormais arrivé pour revenir en arrière. Non pas à cause de la chaleur, certes, mais à cause du fait que le personnel du secteur, comme il se doit, légitime et sacro-saint, doit prendre des vacances, surtout pendant les mois de juillet, août et septembre.

LA SITUATION

Eh bien, pour garantir les vacances du personnel, étant donné que nous partons de 200 infirmiers, agents de santé et techniciens de moins (le nombre est fourni par le syndicat) par rapport aux usines biologiques, les vacances réduiront encore le personnel de service. Les entreprises Asfo et Asufc ont déjà présenté aux syndicats les plans de réorganisations et de fermetures estivales pour récupérer le personnel nécessaire pour maintenir la flamme allumée éventuellement dans tous les Services, certainement dans les services essentiels afin de toujours pouvoir assurer le assistance. À Pordenone, pour donner un exemple, pendant les trois mois d’été, les blocs opératoires de Santa Maria degli Angeli fonctionneront à 50 pour cent de leur capacité, reportant de plus en plus dans le temps plusieurs opérations programmées, avec deux blocs sur quatre ouverts à San Vito et un seul à Spilimbergo. Le nombre de lits en médecine et en chirurgie sera réduit, l’hôpital de jour sera réduit ainsi que les admissions en chirurgie d’un jour. Enfin, le rythme de l’assistance a diminué dans la plupart des autres départements.

LA SOUFFRANCE

Même situation, plus ou moins, à Udine et dans les autres établissements de santé du Frioul. Mais ce n’est pas tout. pour maintenir les services ouverts, ceux qui resteront au travail, étant donné que les effectifs sont déjà réduits, devront très souvent assumer des postes de 12 heures (c’est une hécatombe) et l’annulation des périodes de repos avec des mises en service plusieurs fois par an. semaine. Bref, il y a de quoi vous épuiser et devenir fou.

LES RÉACTIONS

«C’est une situation décidément difficile – coupe court le secrétaire de la Fonction Publique de la CGIL, Pierluigi Benvenuto – parce que le manque de personnel est évident dans tous les services et a des répercussions sur le personnel qui travaille et sur les usagers. Ces derniers jours, pour donner un exemple, ils ont été contraints de fermer une salle d’urgence. Le problème – poursuit le syndicaliste – c’est qu’il ne semble pas y avoir de volonté de résoudre les problèmes. Il est vrai qu’il est difficile de trouver des infirmières, mais étant donné qu’il existe un classement ouvert et qu’il y a du monde en attente parmi les travailleurs sociaux et sanitaires, pourquoi, entre-temps, ceux qui pourraient soulager la charge de travail dans les départements et services ne sont-ils pas embauchés ? . Je suis d’accord avec mon collègue Altavilla (secrétaire de Nursind, ndlr) que les salles de dialyse et d’urgence sont en difficulté, mais il existe également plusieurs autres services dans les mêmes conditions, voire pires. Je pense aux soins maternels et infantiles, mais surtout à la médecine, où ils deviennent vraiment fous. Mais plus ou moins – explique Benvenuto – ils sont tous dans les mêmes conditions, même sur le territoire, où pourtant, en ne travaillant pas la nuit, on peut se déplacer».

MOBILITÉ

«Face à ces problèmes et à ces déplacements effrénés – conclut-il – il est clair que le personnel réclame la mobilité, car cela devient un moyen de défense pour ne pas devenir fou, une provocation. Il y a plutôt un autre problème à résoudre : il y a des demandes de transfert de personnel qui voudrait aller travailler en dialyse ou aux urgences depuis d’autres services, mais elles ne sont pas satisfaites. Si la Société continue de ne pas satisfaire ces demandes, elle risque véritablement d’autres sorties volontaires.”

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Le Gazzettino

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