la Municipalité l’évaluera, le vrai problème est la valeur de la zone

Le dossier Rigamonti semblait dans une impasse, mais Massimo Cellino – ou plutôt le directeur général Luigi Micheli qui a suivi le dossier personnellement avec les avocats du club – a frappé un grand coup. après le très long froid entre l’entreprise et la Municipalité. Le sentiment n’a jamais été aussi vif, même avec le conseil précédent (l’actuel propriétaire est arrivé à l’été 2017, à la fin du premier mandat de Del Bono, puis réélu en 2018), mais le gel a été total après la conclusion du l’expertise du stade, demandée en octobre dernier par le président et commandée par la Loge au groupe Praxi. Le 1er mars la réponse est communiquée : 16,8 millions, un chiffre qui a rendu Cellino furieuxqui Courrier il a prononcé la fameuse phrase « Sommes-nous sur Scherzi a parte ? », qui a déclenché une polémique qui ne s’est pas encore apaisée.

Les partis ne se sont jamais parlé ces derniers mois, Brescia a toujours agi de manière formelle et l’a également fait ces derniers jours lorsqu’elle a présenté, à la Loggia, son contre-expertise. Selon des sources au sein du club, les propriétaires ont pris des mesures pour éviter que Rigamonti, dans le présent et dans le futur (surtout en cas de vente du club), ne devienne inaliénable pour quiconque. en raison d’une évaluation incorrecte. Non seulement donc pour contrer la Municipalité, se considérant pénalisée pour le non-évaluation des améliorations réalisées en 2019 (environ quatre millions et demi), payés par l’entreprise, à qui l’on avait entre-temps confié l’installation jusqu’en 2028, pour obtenir l’utilisabilité de la Serie A.

La différence est de 11 millions (la valeur de l’installation de Mompiano a été estimée à 5,85 millions) entre l’expertise municipale et celle du club : un chiffre abyssal, qui appellera la Municipalité à une inévitable évaluation. Pas immédiat, il faudra dix jours ou deux semaines avant que le dossier soit analysé notamment par les techniciens et l’adjoint au maire Federico Manzoni, conseiller responsable des politiques de mobilité, du patrimoine et des services institutionnels. D’après ce qui ressort, en Loge ils ont vécu cette nouvelle étape avec sérénité : la réponse de la première évaluation avait surpris même la maire Laura Castelletti, il l’avait rapporté publiquement lors d’une conférence de presse ad hoc. Si une hypothétique « remise » sur le prix final était prévisible d’un bien qui est loin d’être défini aujourd’hui comme aliénablela véritable question à résoudre sera celle de la valeur de la zone dans laquelle se situe le stade. Brescia affirme qu’il se situe entre 20 et 30 euros le mètre carré, Praxi l’a indiqué à 90 euros. Le vrai jeu se joue ici. Et ce ne sera pas rapide.

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