Ferrare, lettre à l’ACA sur le non-respect des horaires : “Prêt pour le recours collectif” – Il Giornale di Chieti

Ferrare, lettre à l’ACA sur le non-respect des horaires : “Prêt pour le recours collectif” – Il Giornale di Chieti
Ferrare, lettre à l’ACA sur le non-respect des horaires : “Prêt pour le recours collectif” – Il Giornale di Chieti

Nous publions ci-dessous la lettre ouverte à l’ACA du maire de Chieti, Diego Ferrara.

Salutations à la direction de la société d’approvisionnement en eau du district et à tous ses employés. Je me souviens encore de la conférence d’août de l’année dernière, au cours de laquelle ont été annoncés la sortie de la société de la procédure de concordat et le plan industriel pour les 5 années à venir. Un Plan Industriel complet d’un point de vue économique (98 000 000 d’euros) et techniquement ambitieux. Fonds tirés du PNRR, du Masterplan et des ressources internes.

Les designs sont presque futuristes :

1) cartographie et modélisation de l’ensemble du réseau (1 063 km) ;

2) informatisation des réseaux d’eau avec identification précoce des points les plus vulnérables et réduction de 30% des pertes ;

3) doublement de la mangeoire du jardin.

Le Président Brandelli espérait, et il s’y engage toujours, donner “de l’efficacité aux infrastructures d’eau et d’assainissement, car il n’y a pas de développement social, économique et écologique du territoire sans un service d’eau et d’assainissement efficace”. Au cours de tous ces mois, je dois reconnaître, sinon je commettrais un populisme inutile ou pire une démagogie, envers les dirigeants de l’entreprise et, surtout, envers les travailleurs, d’une relation de collaboration mutuelle faite de rapports opportuns et d’interventions tout aussi rapides et incisives, à chaque fois une “alerte” du territoire et des citoyens. Mais l’été 2024 s’annonce comme la pire saison pour l’approvisionnement en eau en raison d’un automne sec et surtout d’un hiver sec. Des conditions météorologiques exceptionnelles qui ajoutent aux vulnérabilités du réseau que nous essayons, avec tant d’efforts, de résoudre. Les images photographiques comparatives des puits de captage, entre juin 2023 et juin 2024, sont dramatiques et comparables aux scènes de films catastrophes, mais Chieti souffre d’inconvénients qui nécessitent votre attention. Parce qu’hier après-midi, j’ai téléphoné à quelques collègues maires des territoires voisins et voici les réponses à ma question sur la situation actuelle de leurs communes : San Giovanni Teatino (fermetures programmées un jour sur deux avec horaires de fermeture et d’ouverture respectés) ; Francavilla al Mare (rationnement dans la ville de colline avec fermetures nocturnes et horaires respectés) ; Spoltore (écoulement d’eau régulier ces jours-ci mais fermetures programmées jusqu’à il y a 10 jours) ; Pescara (apparemment tout est en ordre, le maire Masci n’a reçu aucun rapport ni plainte) ; Cepagatti (fermetures nocturnes quotidiennes avec horaires respectés). Compte tenu de ces constats et face à une situation sur le territoire de notre ville caractérisée au contraire par des désagréments constants causés par le non-respect des horaires annoncés et, par conséquent, par l’absence de flux qui ne permet pas aux familles et aux entreprises de cohabiter et de s’organiser. , je demande du RESPECT à l’ACA, en tant que maire d’une ville qui est en danger pour la santé et l’hygiène depuis des semaines et avec une forte possibilité de défaillance des établissements commerciaux. Envoyez-nous des VRAI bulletins où il y a congruence entre les horaires déclarés et ceux réellement observés. Un citoyen qui doit prendre une douche après une journée de travail ou un établissement public qui se nourrit de clientèle, surtout en été, ne peut plus se fier à une alerte de coupure d’eau fixée à 22h30 et qui se matérialise à 21h00, ni à une restauration qui aura lieu à 9 heures du matin au lieu de 6 heures. Mes concitoyens et moi sommes parfaitement conscients de tout, mais nous ne voulons plus nous laisser berner. Comme on le sait, j’ai toujours eu confiance dans la justesse des relations institutionnelles, mais la situation actuelle me voit du côté des citoyens, prêts à soulever la question dans les forums officiels de discussion entre la municipalité et la société, mais surtout à entreprendre , avec eux, aussi la voie d’un recours collectif capable de faire valoir des raisons simples, le respect des délais impartis, si la situation reste inchangée. L’eau est un bien essentiel, c’est un droit, ainsi qu’un service pour la communauté : en 2024, cet état de fait n’est pas possible dans une capitale provinciale, qui avec toutes ses difficultés doit aussi souffrir d’une urgence si sensible, mais qui doit être abordé avec le respect et la justesse dus à une société civile.

PREV Zirkzee pour Giroud, comment l’attaque de Milan pourrait changer
NEXT Format Gazzetta – Bologne Ligue des Champions : d’abord Gosens, puis l’attaquant